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| Basil Rathbone : Sherlock Holmes ||| Nigel Bruce : Dr. Watson ||| Marjorie Riordan : Sheila Woodbury ||| Rosalind Ivan : Agatha Dunham ||| Leslie Vincent : Prince Nikolas ||| Martin Kosleck : Mirko ||| Rex Evans : Gregor ||| Wee Willie Davis : Gubec ||| John Abbott : Jodri ||| Morton Lowry : Sanford |
983 lectures |
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Mission à Alger ou Mission au soleil |
 Retour à Sherlock Holmes |
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Mission à Alger ou Mission au soleil |
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| Au terme d’un véritable jeu de piste Holmes rencontre le premier ministre de Rovinia. Celui-ci lui demande d'escorter le Prince Nikolas, l'héritier du trône, lors de son retour dans son pays. Holmes et le Prince héritier doivent emprunter un avion pour effectuer le voyage. Watson qui ne peut prendre place à bord de l’avion embarque sur un navire en partance pour Alger comme le lui suggère Holmes. Mais tout ceci n’est qu’un subterfuge. En fait, Holmes et le prince montent eux aussi à bord du navire. Et comme chacun s’y attend la traversée ne sera pas sans dangers |
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Quelques mots sur |
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| La saga s’épuiserait-elle ? Autour d’un scénario aussi dénué de suspense que de rebondissements, et ce ne sont pas les chansonnettes qu’entonne Watson qui rendent le spectacle intéressant, Holmes et son compère embarquent pour un huis clos en mer filmé sans originalité. Le jeu de piste sur lequel s’ouvre le film n’est que prétexte à un hors-champ scénaristique qui offre à Holmes l’incontournable scène où sont esprit triomphe sous l’œil émerveillé d’un docteur sans patients. Ainsi, l’inattendu rebondissement qui inaugure la croisière en direction d’Alger est tellement téléphoné que plus d’un spectateur a dû refuser le paiement contre vérification. Quant aux protagonistes de cette insipide croisière dans l’atlantique, ils révèlent tous du cliché inhérent genre : truands comploteurs aux mines patibulaires ; charmante chanteuse apeurée ; vieille dame armée ; quelques archéologues… |
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