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Basil Rathbone : Sherlock Holmes ||| Nigel Bruce : Dr Watson ||| Dennis Hoey : Inspecteur Lestrade ||| Aubrey Mather : Bruce Alastair ||| Paul Cavanagh : Simon Merrivale ||| Holmes Herbert : Alan Cosgrave ||| David Clyde : Alex MacGregor ||| Gavin Muir : Chalmers ||| Cyril Delevanti : Stanley Raeburn |
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La Maison de la peur ou Sherlock Holmes et la Maison de la peur |
Retour à Sherlock Holmes |
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La Maison de la peur ou Sherlock Holmes et la Maison de la peur |
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Chalmers, un agent d'assurance, fait part à Sherlock Holmes et au docteur Watson des étranges événements qui sont advenus à Drearcliff House, un manoir en bord de mer à l'ouest dans l'Écosse. Depuis quelque temps, les sept membres du club « les bons camarades » avaient pris l’habitude de s’y réunir. Au cours de l’une de ces soirées, l’un des membres de ce club a reçu une lettre contenant sept pépins d'orange. Cette nuit même il a été tué dans un accident d'automobile. Quelques jours plus tard, un autre membre du club, après avoir reçu une missive renfermant six pépins, d'orange a été retrouvé noyé. Chalmers s’inquiète de cette affaire, car tous les membres du club ont souscrit un contrat d'assurance vie au bénéfice les uns des autres. |
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Quelques mots sur |
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Malgré le fait que pour cette dixième aventure du duo Basil Rathbone / Nigel Bruce, le réalisateur et le scénariste ont puisé leur inspiration dans la nouvelle « Les cinq pépins d’orange » de Sir Arthur Conan Doyle (1), ce pur whodunnit à tendance gothique n’est pas sans évoquer Agatha Christie et ses « Dix petits nègres ». Perdu dans un manoir, isolé au fin fond de l’Écosse, cerclé par l’orage qui gronde et les nappes de brouillard qui stagnent sur la lande, Holmes semble avoir perdu ces dons divinatoires. Certes, il évente quelques faux-semblants, mais, obnubilé par ses soupçons de l’agent d’assurance, il se fourvoie quant au mobile des crimes, et par conséquent ne parvient pas à percer le mystère des pépins d’orange. Les meurtres s’accumulent sous les yeux incrédules d’un Watson mâtiné de clown, mais qui paradoxalement découvrira, grâce à l’absence de tabac dans la tabatière, la clé de l’énigme bien avant son compagnon, habituellement plus preste. En titrant ce film « La maison de la peur », la Universal souhaitait probablement l’inscrire dans la lignée de « La griffe sanglante », du « Chien des Baskerville » ou de quelques films de monstres son catalogue regorgeait, malheureusement seul le titre l’apparente à cette veine et la présence de passages secrets ou le regard funeste de la gouvernante ne changent rien à l’affaire. 1- https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Cinq_P%C3%A9pins_d%27orange |
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