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Basil Rathbone : Sherlock Holmes ||| Nigel Bruce : Docteur Watson ||| Gale Sondergaard : Andrea Spedding ||| Vernon Downing : Norman Locke ||| Dennis Hoey : Inspecteur Lestrade ||| Alec Craig : Radlik, alias Mathew Ordway ||| Arthur Hohl : Adam Gilflower ||| Mary Gordon : Mrs Hudson ||| Teddy Infuhr : Larry ||| Stanley Logan : Robert ||| Angelo Rossitto : Obongo ||| Edmund Mortimer |
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Sherlock Holmes et la femme à l'araignée |
Retour à Sherlock Holmes |
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Sherlock Holmes et la femme à l'araignée |
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La ville de Londres est frappée par une vague de suicides inexplicables. Des personnes en pleine santé se tuent, toutes retrouvées vêtues d'un pyjama. Persuadé que ces suicides sont en fait des meurtres, Sherlock Holmes se fait passer pour mort et prend l'identité de Rajni Singh, un militaire indien à la retraite. |
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Quelques mots sur |
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Pour ce septième opus du cycle Basil Rathbone, Sherlock Holmes a droit à une scène inaugurale pour le moins surprenante puisqu’elle se double de sa disparition. L’homme au cerveau le plus brillant de la création s’évanouit et bascule dans le torrent où il pêchait. Son corps disparaît, emporté par le courant tumultueux. Personne n’est dupe et chacun sait qu’il s’agit d’un subterfuge devant permettre au détective d’enquêter en toute discrétion sur l’affaire que la presse a baptisée « les suicidés en pyjama ». Par contre, au fil des minutes chaque spectateur s’interroge sur la nécessité de ce stratagème. L’habit faisant le moine, le locataire du 221B Baker Street se déguise en militaire indien. Et dès sa première apparition publique, il est approché par la tête pensante des malfaisants. Mais le turban et la barbichette pointue ne faisant pas le retraité des Bharatiya Thalsena, la charmante malveillante l’identifie presque immédiatement. Sherlock Holmes délaisse l’effort de guerre et s’éloigne de l’agitation antinazie, pour autant le scénario de ce métrage demeure fidèle à la promptitude. Vade retro finesse psychologique, complexité d’une intrigue en faux semblant et suspense en crescendo, l’enquête est prestement menée et les criminels rondement appréhendés. Que retenir de ce métrage (1) à la mise en scène atone qui voit un docteur Watson de plus en plus hébété ne servir que de faire-valoir ? Peut-être l’apparition de la femme… de la femme fatale. 1- Il serait l’adaptation, très libre, de la de Sir Arthur Conan Doyle intitulée « La bande tachetée » |
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