France Anglade : Caroline de Bièvre, mariée à l'avocat Georges Berthier ||| François Guérin : Gaston de Sallanches, l'amour de Caroline ||| Bernard Blier : Georges Berthier, avocat et député à la convention ||| Karin Dor : Isabelle de Coigny, une maîtresse de Gaston ||| Giorgio Albertazzi (VF : Dominique Paturel) : Jean Albencet, le géologue qui cherche un assistant ||| Vittorio De Sica (VF : Jean Martinelli) : Le comte de Bièvre, père de Caroline ||| Françoise Christophe: La Chabanne, l'assistante du docteur Belhomme ||| Jean-Claude Brialy : De Boimussy, l'aristocrate guillotinné ||| Charles Aznavour : Le postillon qui sauve caroline ||| Gert Fröbe : Le docteur Belhomme ||| Jacques Monod : De Carilly, le docteur qui a racheté le château du comte ||| François Chaumette : Van Krift 1 ||| Isa Miranda : La duchesse de Bussez ||| Valeria Ciangottini: Marie-Anne de Forbin ||| Jean-Pierre Darras : Van Krift 2 ||| Roger Dumas : Clément, l'ancien jardinier du comte ||| Pierre Vernier : Le général Bonaparte ||| Denis Savignat : Un aristocrate à Vincennes ||| Henri Virlojeux : Le docteur Guillotin ||| Béatrice Altariba: aristocrate chez Belhomme ||| Michel Barbey ||| Didier Chéreau ||| Jacques Richard : Le commissaire à la perquisition ||| Claude Bertrand : Le municipal de la prison ||| Jacques Hilling : L'homme du relais ||| Michel Tureau : Un agent qui recherche Caroline ||| Pierre Leproux : Un ami de Berthier ||| André Badin : Un domestique à Vincennes ||| Pierre Lafont : Un autre domestique à Vincennes ||| Béatrice Costantini ||| Dominique Zardi : Un assistant du municipal de la prison ||| Jean-Pierre Sentier : Un révolutionnaire ||| Sady Rebbot : L'homme enfermé avec Caroline ||| Denise Péron ||| Daniel Ceccaldi : voix du narrateur |
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Caroline chérie En Images |

Retour à Caroline Cherie
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Caroline chérie Synopsis |
A quelques scènes près, en plus ou en moins, le scénario de ce remake ne se différencie guère de celui du film originel. |
Quelques mots sur Caroline chérie |

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Pour ce film, la nouvelle Caroline, au décolleté toujours aussi affriolant, évolue dans un décor au design résolument seconde moitié des années 60. Exit les décors baroques, place au bleu, à l’orange, au rouge et au jaune. Oubliant le pudique « Fils de Caroline Chérie » et puisant son inspiration polissonne dans « Un caprice de Caroline Chérie », le réalisateur propose au public le spectacle de pérégrinations qui ne sont que prétexte à galipettes et autre doux larcin crapuleux.
Le spectateur d’aujourd’hui, pourvu qu’il ait atteint un certain âge, s’étonnera de croiser beaucoup de grands noms du cinématographe français dans cette comédie aux prétentions émoustillantes.
Malheureusement pour ce regardeur français, il fut privé de quelque temps fort en la matière.
Ainsi, son homologue outre alpin vit ce que vit le révolutionnaire lorsqu’il retira le drap qui couvrait Isabelle de Coigny (Image 4-Bas). De même, la rencontre entre Caroline et le docteur De Carilly fut l’occasion pour celui-ci de découvrir une autre partie de l’anatomie de la charmante et puérile France Anglade (Image 8-Bas). La version française de ce métrage aurait donc souffert de quelques coupes pudiques ? Pas uniquement. Dans la scène finale (Image 3-Bas) le drap bleu qui couvre Caroline est absent de la version italienne… |
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