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Hugh Jackman : Logan / Wolverine3 ||| Rila Fukushima : Yukio ||| Tao Okamoto : Mariko Yashida ||| Svetlana Khodtchenkova : Dr. Green / La Vipère4 ||| Famke Janssen : Jean Grey (rêve de Logan) ||| Will Yun Lee : Kenichiro Harada ||| Hiroyuki Sanada : Shingen Yashida ||| Brian Tee : Noburo Mori ||| Hal Yamanouchi : Yashida / Samouraï d'Argent ||| Ken Yamamura : Yashida jeune ||| Patrick Stewart : Pr. Charles Francis Xavier / Professeur X ||| Ian McKellen : Eric Lehnsherr / Magnéto |
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Wolverine : Le Combat de l'immortel |
![]() Retour à X Men |
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Wolverine : Le Combat de l'immortel |
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Une jeune rousse venue du Japon conduit Wolverine jusqu’au lit de mourant d’un puissant industriel. Lors de l’enterrement de ce dernier une meute de yakusa de tente de kidnapper la fille du défunt. Wolverine s’interpose et se retrouve, de ce fait, au milieu d’un conflit de succession… jusqu’à ce qu’il découvre que l’enjeu de tout ce micmac est en fait de son immortalité |
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Quelques mots sur |
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Wolverine, le personnage le plus emblématique de l’univers des X-Men, est de retour pour une aventure en solitaire au pays du Soleil Levant. La présence de la gent féminine au visage souriant laisse espérer un métrage moins bourratif en bastons que le précédent film dédié à ce mutant à la pilosité extrême. Malheureusement, le spectateur naïf déchante très vite. Dès l’instant où le vieil industriel japonais, auquel Wolverine avait sauvé la vie lors de l’explosion thermo nucléaire sur Nagasaki, meurt le métrage se résume à un enchainement mécanique de bagarres chorégraphiées samouraïs (1). Et si aux hurlements se mêlent les détonations et autres pétarades mortelles, l’originalité n’a visiblement pas élu domicile entre les lignes du scénario. Pourtant, durant un court moment chacun était en droit de l’escompter, une mutante au doux nom de vipère étant parvenue à annihiler le pouvoir régénérateur de Logan ! Mais l’affaire ne dure pas plus de quelques fusillades et d’un coup de grille, prélude à une auto opération à cœur ouvert, Wolverine rétablit la situation. Les fins gloutons souligneront les diverses intertextualités qui courent le long du métrage, la plus visible renvoyant à une des scènes des « diamants sont éternels » (2), mais cela ne suffit pas pou métamorphoser ce blockbuster qui n’en finit pas en une superproduction roborative dont on regrette la brièveté. 1- On retiendra la bagarre (dédiée 3D) sur le toit d’un train à grande vitesse et on oubliera celle où Wolverine affronte un avatar de Roboco 2- Dans « Les diamants sont éternels », un gangster jette une fille par la fenêtre. Celle-ci finit sa course dans une piscine. Ici c’est Wolverine qui précipite son adversaire par la fenêtre et celui-ci termine aussi sa chute dans une piscine « ça s’appelle bien viser » dit Bond « Comment t'as su, pour la piscine ? » demande Yukio à Wolverine Dans les deux cas, la réponse est identique : « J'en savais rien » |
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