|
|
|
Film basé sur la série originale William Shatner : Amiral James Tiberius Kirk ||| Leonard Nimoy : Capitaine Spock ||| DeForest Kelley : Docteur Leonard McCoy ||| James Doohan : Commandant Montgomery Scott ||| Walter Koenig : Commandant Pavel Chekov ||| George Takei : Commandant Hikaru Sulu ||| Nichelle Nichols : Commandant Nyota Uhura ||| Catherine Hicks : Docteur Gillian Taylor ||| Mark Lenard : Sarek ||| Jane Wyatt : Amanda ||| Majel Barrett : Commandant Chapel ||| Robin Curtis : Lieutenant Saavik |
341 lectures |
|||||||
Star Trek 4 : Retour sur Terre |
Retour à Star Trek |
|||||||
Star Trek 4 : Retour sur Terre |
||||||||
Une sonde extraterrestre en orbite autour de la Terre vaporise les océans… L’équipage de l’Enterprise, de retour de Vulcain où il a trouvé refuge au terme du précédent volet, remarque que les fréquences utilisées par la sonde correspondent à celle du des baleines à bosses ayant totalement disparu depuis la fin du XXIIe Et c’est ainsi que l’équipage de l’Enterprise entreprend un voyage dans le temps afin de récupérer l’une de ces baleines afin de communiquer avec les intrus. |
||||||||
Quelques mots sur |
||||||||
Ce nouvel épisode grand écran de la série « Star Trek » met au centre de l’intrigue la biodiversité. Repeint aux couleurs de l’écologie métaphysique l’équipe del’USS l’Enterprise à la lourde tâche de sauver la planète de l’extinction énergétique causée par une sonde venue d’un au-delà de l’univers que peuplent des baleines industrieuses qui inspectent l’infini à la recherche de leurs congénères. Pour mener à bien leur délicate et essentielle mission, l’ amiral James Tiberius Kirk et son équipe entreprennent un voyage vers le passé, grâce à l’hyper exponentielle (probablement une cascade de e puissance e). Cette excursion au vingtième siècle ne pouvait donner lieu qu’à des situations cocasses, bien que contenues au point que rares sont les spectateurs qui entre deux poignées de pop corn rient aux éclats. Mais qu’importe ? Le spectateur échappe ainsi aux leçons de métaphysique de bidet et à l’assoupissement subséquent. Une pointe d’humour (Images 5-6), une éradication partielle de la phraséologie philosophique et quelques escapades en plein air (Image 7), voilà qui marque une amorce de rupture épistémologique, même si les jeux de lumière (Images 2-3-4) et les toiles peintes (Image 1) ne disparaissent pas entièrement et même si l’équipage de l’Entreprise évoque toujours une escouade de moines ayant fait vœux de chasteté (Image 8). |
|