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Film basé sur la série originale William Shatner : Amiral James Tiberius Kirk ||| Leonard Nimoy : Capitaine Spock ||| DeForest Kelley : Dr. Leonard McCoy ||| James Doohan : Commandeur Montgomery Scott ||| Walter Koenig : Commandeur Pavel Chekov ||| George Takei : Commandeur Hikaru Sulu ||| Nichelle Nichols : Commandeur Nyota Uhura ||| Ricardo Montalbán : Khan Noonien Singh ||| Bibi Besch : Dr. Carol Marcus ||| Merritt Butrick : Dr. David Marcus ||| Paul Winfield : Capitaine Clark Terrell ||| Kirstie Alley : Lieutenant Saavik ||| Ike Eisenmann : Élève-officier Peter Preston ||| Judson Scott : Joachim, pilote de Khan |
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Star Trek 2 : La Colère de Khan |
Retour à Star Trek |
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Star Trek 2 : La Colère de Khan |
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Khan, un vieil ennemi de l'amiral Kirk, parvient à s’emparer d’un vaisseau qui explorait la planète où il avait été banni. Fort de ce succès Khan projette de faire main basse sur une arme de destruction cosmique. Ignorant la menace Kirk, à bord de l’U.S.S. Enterprise, se dirige droit vers le piège que lui a tendu Khan… |
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Quelques mots sur |
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Pour ce deuxième opus de « Star Trek » version grand écran, le cinéaste qui se dit peu convaincu par le premier volet, ressuscite Khan Noonien Singh (Image 3), un personnage jailli des éprouvettes de quelque biologiste de la fin du vingtième siècle et ayant transité par l’épisode 22 de la saison 1, intitulé « Les Derniers Tyrans ». Donnant ainsi une figure au méchant, le réalisateur espère faire mieux que son prédécesseur. Certes, l’équipage de l'USS Enterprise n’affronte plus une entité abstraite et verbeuse, certes quelques échanges de tirs neutroniques viennent éveiller le spectateur assoupi, mais le résultat est toujours aussi soporifique à moins qu’il ne soit comique tant les tenues des bandits intergalactiques conduits de main de fer par le sinistre Khan relèvent d’un autre métrage (Image 6). Pour le reste, c’est à dire le métrage en soit, il ne renonce pas aux amulettes qui ont envouté les fans : toiles peintes, maquettes (Image 5), fonds noirs (Image 4), effet pyrotechnique et filtre colorés (Images 1-7), longs dialogues quasi cryptés et considérations existentielles, voire créationnistes, Finalement le spectateur lambda retiendra peut-être de ce long tunnel où l’intrigue s’écoule sur un rythme digne de « Inspecteur Derrick » : quant l’enfant parait Spock disparait (Image 8). |
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