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Chris Pine : James Tiberius Kirk ||| Zachary Quinto : Spock ||| Karl Urban : Leonard « Bones » McCoy ||| Zoë Saldaña : Nyota Uhura ||| Simon Pegg : Montgomery « Scotty » Scott ||| John Cho : Hikaru Sulu ||| Anton Yelchin : Pavel Chekov ||| Idris Elba : Krall ||| Sofia Boutella : Jaylah ||| Joe Taslim : Manas / Anderson Le ||| Lydia Wilson : Kalara / Jessica Wolff ||| Deep Roy : Keenser ||| Harpreet Sandhu : ||| Melissa Roxburgh : enseigne Syl ||| Anita Brown : Tyvanna ||| Doug Jung : Ben, le compagnon d'Hikaru Sulu ||| Danny Pudi : Fi'Ja ||| Kim Kold : Zavanko ||| Shohreh Aghdashloo : Commodore Paris, commandant la station Yorktown ||| Ashley Edner : Natalia ||| Jason Matthew Smith : Hendorff ||| Bryce Soderberg : Satine ||| Shea Whigham : chef des Teenaxis en caméo (photo uniquement) ||| Leonard Nimoy : ambassadeur Spock Prime ||| William Shatner : James Tiberius Kirk ||| DeForest Kelley : Leonard « Bones » McCoy ||| James Doohan : Montgomery « Scotty » Scott ||| George Takei : Hikaru Sulu ||| Walter Koenig : Pavel Chekov ||| Nichelle Nichols : Nyota Uhura |
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Star Trek : Sans limites |
Retour à Star Trek |
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Star Trek : Sans limites |
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La mission d’ambassadeur de James T. Kirk vire à la catastrophe… Ce qui ne fait qu’ajouter à son ennui. Sur la station Yorktown où fait escale USS Enterprise, Kirk accède à la demande de Kalara et accepte d’aller secourir son équipage échoué au cœur d’une nébuleuse inexplorée. Mais alors qu’il vient de franchir une ceinture d'astéroïdes, USS Enterprise est attaqué par un essaim de vaisseaux qui le transpercent par endroits. Krall, le chef des assaillants exige que lui soit remis l’artefact que transporte USS Enterprise… |
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Quelques mots sur |
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Les habitués de la franchise quelque peu railleurs craignaient probablement que ce nouveau volet s’enlise, à l’image de ceux de la série originelle, dans une métaphysique infra comptoir de zinc. Et les 15 premières minutes, consacrées à une indéfinissable nostalgie, les confortent dans leurs opinions. Mais brusquement, alors que l’équipage de l’USS Enterprise fait route vers une lointaine planète inexplorée, le ton change. Vade retro discours existentiels, un essaim d’abeilles gigantesques et métalliques envahit l’horizon interstellaire et fond sur le vaisseau, transperçant son bouclier défensif. Ainsi, durant une vingtaine de minutes la bataille fait rage, tant dans le cosmos qu’à intérieur des coursives de l’Enterprise… Et voilà le spectateur projeté sur la surface d’une planète d’évidence inhospitalière… Certes le scénario de ce troisième volet du reboot dépoussiérant, initié par J.J. Abrams (1), contient tout entier dans un confetti, mais le savoir-faire numérique du réalisateur masque sous d’épaisses couches d’action ce vide sidéral. Une heure vingt-cinq après le générique, l’action, façon blockbuster, reprend la main sur une cadence frénétique pour ne la rendre que plus de vingt minutes plus tard au terme d’une bataille à main nu et en apesanteur au milieu d’un décor futuriste convainquant. Avec ce « Star Trek : sans limites » la saga, pour ces cinquante ans, souffle sa treizième bougie ! La plus réussie, mais aussi la plus émouvante à cause de son hommage appuyé à Leonard Nimoy (2) et de sa dédicace à Anton Yelchin (3) 1- https://fr.wikipedia.org/wiki/J._J._Abrams 2- https://fr.wikipedia.org/wiki/Leonard_Nimoy 3- https://fr.wikipedia.org/wiki/Anton_Yelchin#T.C3.A9l.C3.A9vision |
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