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Film reprenant les personnages de la série originale, mais se déroulant dans un univers parallèle... Chris Pine : James Kirk ||| Zachary Quinto : Spock ||| Karl Urban : Leonard « Bones » McCoy ||| Zoë Saldaña : Nyota Uhura ||| Simon Pegg : Montgomery « Scotty » Scott ||| John Cho : Hikaru Sulu ||| Anton Yelchin : Pavel Chekov ||| Benedict Cumberbatch : John Harrison / Khan Noonien Singh ||| Bruce Greenwood : Christopher Pike ||| Tom Archdeacon : Enseigne Spyke ||| Peter Weller : amiral Marcus ||| Alice Eve : Dr Carol Marcus ||| Joseph Gatt : Agent scientifique 0718 ||| Noel Clarke : Thomas Harewood ||| Nazneen Contractor : Rima Harewood ||| Ser'Darius Blain : soldat ||| Kraisit Agnew : Nikicha Tomser ||| Elly Kaye : officier de Starfleet ||| Nolan North : un officier du USS Vengeance ||| Kasia Kowalczyk : Grasia Alien ||| Beau Billingslea : capitaine Abott ||| Leni Ford : Cosmoe ||| Leonard Nimoy : Spock âgé ||| Christopher Doohan : un officier de transport ||| Mike Kalinowski : un officier de la flotte ||| Jonathan Dixon : officier Neville ||| Thomas W. Stewart : un ingénieur de l'Enterprise |
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Star Trek Into Darkness |
Retour à Star Trek |
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Star Trek Into Darkness |
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« Starfleet, l'institution chargée de la défense de la Fédération des planètes unies, est menacée par un terroriste du nom de John Harrison qui vise à détruire la flotte et les valeurs qu'elle représente. Après une attaque sur un centre d'archives à Londres, l'individu s'enfuit aux confins de la Galaxie, sur la planète des Klingons. L'amiral Marcus autorise le capitaine James T. Kirk à traquer Harrison à bord de l'USS Enterprise jusque sur Kronos, planète mère des Klingons. Plongé dans un monde en guerre, Kirk, aidé de son second Spock, va tout faire pour protéger son équipage, qui est pour lui ce qui se rapproche le plus d'une famille. » Wikipédia |
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Quelques mots sur |
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Après cinq séries TV, qui courent entre 1966 et 2005, et onze films, qui eux parcourent les années 1979-2009, voici le douzième film consacré aux aventures et mésaventures des explorateurs de l’espace infini. Et comme il fallait s’y attendre, les studios n’ont pas mégoté sur les effets spéciaux, la 3D, les explosions, les poursuites intersidérales et autres décors futuristes. Débutant comme un simple « Aventurier de l’arche perdue », nos téléportés aux quatre coins de la galaxie vont vite se retrouver aux prises avec un redoutable adversaire surgit d’un passé lointain, probablement des temps de la genèse de la série tout genre confondu. Le spectateur avide de cosmos sera abasourdi par le talent de faiseur du réalisateur qui ne rate aucun de ses objectifs et principalement celui qui consiste à en mettre plein les yeux, au prix parfois du ridicule (Image 2). Mais il ne pourra qu’être agacé de constater que comme à son habitude ce « Star Trek Into Darkness » se noie dans un océan de pseudo philosophe existentielle pour demeuré mental… ce qui a tendance à anéantir toute l’Enterprise. |
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