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Film basé sur la série Star Trek : La Nouvelle Génération. Patrick Stewart : Capitaine Jean-Luc Picard ||| Jonathan Frakes : Commander / Capitaine William T. Riker ||| Brent Spiner : Lieutenant commander Data / Proto ||| LeVar Burton : Lieutenant commander Geordi La Forge ||| Michael Dorn : Lieutenant commander Worf ||| Gates McFadden : Docteur Beverly Crusher ||| Marina Sirtis : Conseiller Deanna Troi-Riker ||| Tom Hardy : le préteur Shinzon ||| Shannon Cochran : le sénateur Tal'aura ||| Dina Meyer : Le commandant Donatra ||| Jude Ciccolella : Le commandant Suran ||| Ron Perlman : Le vice-roi rémien Vkruk ||| Alan Dale : Le préteur Hiren ||| Kate Mulgrew : Amiral Kathryn Janeway ||| Wil Wheaton : Wesley Crusher ||| Majel Barrett : la voix de l'ordinateur ||| Whoopi Goldberg : Guinan ||| Bryan Singer : un officier de passerelle (caméo) |
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Star Trek : Nemesis |
Retour à Star Trek |
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Star Trek : Nemesis |
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Au terme de quelques péripéties, l’Entreprise est expédié en mission à Rumulus afin de rétablir les liens diplomatiques entre la Fédération et les Romulans. Sur place, Jean-Luc Picard et son équipage découvrent d’une part que le nouvel homme fort de Romulus, Praeter Shinzon, a éliminé une majeure partie du Sénat, d’autre part que Shinzon est un terrien, clone de Picard. Jean-Luc Picard et son fidèle équipage parviendront-ils à déjouer l'opération de destruction massive dont Shinzon menace la Terre? |
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Quelques mots sur |
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Dans le précédent opus, les scénaristes avaient introduit quelques allusions à l’une des activités humaines les plus agréables. Le spectateur informé de la chose n’est donc pas surpris qu’un mariage serve d’ouverture à ce nouveau métrage. Mariage : moment de légèreté et de décolleté généreux (Image 1), mais aussi d’apparition fugace de Whoopi Goldberg (Image 2). Une scène d’action succède à ce moment d’insouciance, une scène qui se conclut par un saut dans le vide digne d’un 007 au ski (Image 3). Star Trek aurait-il rompu avec son rythme méditatif que charpente des considérations mystico-philosophiques aux déclinaisons existentielles obédience comptoir de bar ? Que nenni ! le spectateur voit ses espoirs annihilés presque aussitôt. Il doit franchir un long et pénible tunnel où des personnages quasi statiques discutent de l’être et de son double, des avantages et des inconvénients du ménechme. Seule une scène de viol psychique soutenue par une tentative d’honorer les devoirs conjugaux (Images 4-5) vient rompre la monotonie de ses échanges consomptifs. Et brusquement, à quelques quarts d'heure du générique de fin, le film prend son envol numérique (Image 7) et offre au public ses minutes de batailles intergalactiques. Malheureusement, ce moment d’éveil ne dure qu’un instant, le ridicule mitaine pas de pouce (Images 6-8) emporte le tout dans une déflagration salvatrice pour l’Entreprise et le public... |
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