|
|
|
Film basé sur la série Star Trek : La Nouvelle Génération. Patrick Stewart : Capitaine Jean-Luc Picard ||| Jonathan Frakes : Commandant William Riker ||| Brent Spiner : Lieutenant-commandant Data ||| LeVar Burton : Lieutenant-commandant Geordi LaForge ||| Gates McFadden : Dr Beverly Crusher ||| Michael Dorn : Lieutenant-commandant Worf ||| Marina Sirtis : Lieutenant-commandant Deanna Troi ||| F. Murray Abraham : Ahdar Ru'afo ||| Donna Murphy : Anij ||| Anthony Zerbe : Amiral Matthew Dougherty ||| Gregg Henry : Gallatin ||| Daniel Hugh Kelly : Sojef ||| Michael Welch : Artim ||| Mark Deakins : Tournel ||| Stephanie Niznik : Kell Perim ||| Michael Horton : Lieutenant Daniels ||| Peggy Miley : Régente Cuzar ||| Rick Worty : Officier Elloran ||| Greg Polan : Officier Elloran ||| Claudette Nevins : Officier Son'a ||| Joseph Ruskin : Officier Son'a ||| Majel Barrett : Voix du vaisseau Entreprise |
823 lectures |
|||||||
Star Trek : Insurrection |
Retour à Star Trek |
|||||||
Star Trek : Insurrection |
||||||||
Dans un coin retiré de l'espace, Les pacifiques Ba'ku, au nombre de six cents, vivent depuis plus de trois cents ans dans un village idyllique, le Carré de Bruyere. Ils ont renoncé à la technologie en faveur d'un mode de vie agraire et équilibre. Cette planète champêtre est entourée d'un anneau dont les rayonnements assurent à ses habitants une éternelle jeunesse… Mais les perfides Son'a, menés par le cruel Ru'afo, ont décidé de s'approprier leur territoire et pour ce fait de déporter les six cents Ba’ku en un lieu moins hospitalier. Par bonheur et par hasard, le capitaine Picard découvre l’infâme projet |
||||||||
Quelques mots sur |
||||||||
Dans « Star Trek 5 : L'Ultime Frontière » l’Entreprise, tombé entre les mains d’un prêcheur Vulcain, partait à la quête du Paradis, ici, par le plus grand des hasards, l’Entreprise défend le Paradis, tendance agricole, face aux visées expansionnistes et exterminatrices d’extraterrestres aux figures fripées (Image 3). Et la jeunesse irradie les veines du vaillant équipage de l’Entreprise sans pour autant l’extraire du ridicule des maquillages (Image 1). Mais là n’est pas l’essentiel de ce métrage puisque ceci ne le distingue pas des opus antérieurs. Alors que les épisodes précédents se caractérisaient par une rigueur digne d’un monastère de moine ayant fait vœux de chasteté, le spectateur esbaudi voit pointer le sexe (Image 2) dans ce nouvel opus qui se referme sur une promesse de septième ciel au Paradis (Image 8). Mais que chacun se rassure et se défasse de ses inquiétudes, « Star Trek : Insurrection » n’adopte pas pour autant le rythme frénétiquement endiablé des productions pour homme seul qui peuplent la réalité augmentée de l’internet. Fidèle à ce qu’il a toujours été, ce Star Trek aligne des images prudes (Image 4) où seuls les esprits enfiévrés y décèleront des fulgurances sexy (Images 5-6-7) et avance du pas lent du sage pèlerin sur le chemin de Compostelle. |
|