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Film basé sur la série Star Trek : La Nouvelle Génération Patrick Stewart : Capitaine Jean-Luc Picard ||| Jonathan Frakes : Commandeur William T. Riker ||| Brent Spiner : Lieutenant-Commandeur Data ||| LeVar Burton : Lieutenant-Commandeur Geordi La Forge ||| Michael Dorn : Lieutenant puis Lieutenant-Commandeur Worf ||| Gates McFadden : Commandeur / Dr Beverly Crusher ||| Marina Sirtis : Commandeur / Conseiller Deanna Troi ||| Malcolm McDowell : Dr Tolian Soran ||| James Doohan : Capitaine Montgomery Scott (dit «Scotty») ||| Walter Koenig : Commandeur Pavel Chekov ||| William Shatner : Capitaine James Tiberius Kirk ||| Alan Ruck : Capitaine John Harriman ||| Jacqueline Kim : Enseigne Demora Sulu ||| Barbara March : Lursa ||| Gwynyth Walsh : B'Etor ||| Whoopi Goldberg : Guinan ||| Lynn Salvatori : Antonia ||| Guy Vardaman : Darien Wallace |
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Star Trek : Générations |
Retour à Star Trek |
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Star Trek : Générations |
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Les officiers de Starfleet à la retraite James T. Kirk, Montgomery Scott et Pavel Chekov sont invités à l'inauguration du nouveau vaisseau : l’Enterprise NCC-1701-B. Lors de la parade, le navire reçoit un appel de détresse de deux vaisseaux transportant des réfugiés El-Aurian dont la planète vient d'être ravagée par les Borgs, pris au piège dans le Nexus, un ruban énergétique mystérieux. L'opération de sauvetage tourne mal : seulement 47 personnes sont sauvées, dont un scientifique El-Aurian, Tolian Soran ; le capitaine Kirk est porté disparu. Soixante-dix-huit ans plus tard, les membres de l'équipage de l’Enterprise NCC-1701-D, dirigé par le capitaine Jean-Luc Picard, sauvent (de nouveau) Tolian Soran de la destruction de sa base stellaire. Mais, allié à des Borgs rebelles, ce dernier manœuvre jusqu’à rejoindre le Nexus qui constitue en fait une porte vers une nouvelle dimension, mais dont l’ouverture provoquera la destruction de deux systèmes solaires. d’après Wikipédia |
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Quelques mots sur |
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En 1994, alors que la série « Star Trek : La Nouvelle Génération » finissait de décliner ses 178 épisodes de 45 minutes sur les écrans de la télévision et que trois en plus tôt les grands écrans accueillaient « Star Trek VI : Terre inconnue », les studios réunissent les personnages des deux séries dans un nouveau métrage (1) (Image 8). Et c’est ainsi que nait ce « Star Trek : Générations » qui en dernière analyse se démarque peu des précédentes productions. Autour d’un scénario abstrus qui mélange allégrement voyage intersidéral et dans le temps, le réalisateur filme des scènes poussives où des sentences pseudo existentielle se chamaillent avec quelques affrontements pyrotechniques (Image 4). Les Klingon (2) sont toujours aussi ridiculement pagailleux et sales et toujours aussi superfétatoires à l’intrigue qui de par leur présence piétine dans un anecdotique paralysant (Image5). Et même si une partie non négligeable du métrage s’extrait des décors en studio (Image 3) pour s’aventurer dans les grands espaces de la Valley of Fire, près de Las Vegas (Image 6), la vétusté des tourelles en ferrailles (Image 7) et la balourdise des acteurs interdisent au film de se hisser jusqu’aux hauteurs cosmiques où il prétend propulser le spectateur. 1- En fait, le projet est en germe depuis 1991. Notons que Leonard Nimoy refuse de reprendre son rôle de Spock (Image 1) et que Whoopi Goldberg fait deux apparitions… (Image 2) 2- https://fr.wikipedia.org/wiki/Klingon |
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