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Film basé sur la série originale William Shatner : Amiral / Capitaine James Tiberius Kirk ||| Leonard Nimoy : Commandant Spock ||| DeForest Kelley : le Dr. Leonard H. « Bones » McCoy ||| James Doohan : Commandant Montgomery « Scotty » Scott ||| George Takei : Lieutenant-commandant Hikaru Sulu ||| Walter Koenig : Lieutenant-commandant Pavel Chekov ||| Nichelle Nichols : Lieutenant-commandant Nyota Uhura ||| Majel Barrett : le Dr. Christine Chapel ||| Persis Khambatta : Lieutenant Ilia ||| Stephen Collins : Capitaine Willard « Will » Decker ||| Grace Lee Whitney : Lieutenant-commandant Janice Rand ||| David Gautreaux : Commandant Branch ||| Marcy Lafferty : Chef DiFalco ||| Franklyn Seales |
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Star Trek, le film |
Retour à Star Trek |
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Star Trek, le film |
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Une entité extraterrestre, apparemment hostile, se dirige tout droit vers la Terre. L'Amiral Kirk retrouve le commandement de l'USS Enterprise au grand dam de Will Decker qui se voit rétrogradé capitaine. Sur la route qui mène l'USS Enterprise au plus près de l’Entité, Spock rejoint l’équipage. L’entité, qui est un amas de connaissances, se présente sous le nom de V'GER au travers d’un répliquant du lieutenant Ilya, qu’elle a au préalable vaporisé. V'GER finit par révéler le but de son voyage : retrouver sur Terre le Créateur ! Qui est V'GER ? Tout simplement une résurgence du passé, le retour de VoyaGER… |
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Quelques mots sur |
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En 1977 sort sur les écrans « Star Wars », électrisée par le succès de ce métrage, La Paramount décide de ressusciter les personnages de la série « Star Trek » (Image 3) (1), annulée depuis 1969 après 79 épisodes. Autour d’un scénario simplissime et dans le cadre d’un décor convaincant, malgré ses forts relents de carton et de toile peinte (Image 1) et de maquettes (Image 2), d’effet lumineux (Image 8) et de filtres colorés (Image 5), le réalisateur se trouve confronté à une mission surhumaine : métamorphoser un épisode de 45 minutes en un métrage de 2h 10 (1). A ce défi gigantesque, il n’existe qu’une unique réponse : le délayage, l’allongement quasi infini de scènes qui sous d’autres cieux n’auraient donné lieu qu’à de brèves transitions. Ainsi, le spectateur suit l’embarquement du capitaine Kirk sur U.S.S. Enterprise durant une dizaine de minutes, puis il doit encore patienter durant vingt minutes que se dissipe une tempête magnétique. Au final, l’intrigue ne débute vraiment que plus d’une heure après le commencement du film. Autant dire que seuls les inconditionnels de Star Trek sont en mesure de goûter aux charmes désuets des leçons de philosophie existentielle absconses (Image 7) qui suivent entre deux tirades aussi sibyllines que pseudo scientifiques. 1- Les oreilles pointues de M. Spock ont failli manquer à l’appel puisque Leonard Nimoy avait juré de ne plus reprendre le rôle (Images 4-6) 2- 3- En 1969, Paramount Pictures décide de lancer, à la demande des fans, un projet intitulé Star Trek, Phase II pour la télévision. Un épisode pilote est écrit… c’est cet épisode qui sert de scénario à ce film. |
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