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| Jeff Goldblum : Pr. Ian Malcolm ||| Julianne Moore : Dr. Sarah Harding ||| Pete Postlethwaite : Roland Tembo ||| Arliss Howard : Peter Ludlow ||| Richard Attenborough : John Hammond ||| Vince Vaughn : Nick Van Owen ||| Vanessa Lee Chester : Kelly Curtis Malcolm ||| Peter Stormare : Dieter Stark ||| Harvey Jason : Ajay Sidhu ||| Richard Schiff : Eddie Carr ||| Thomas F. Duffy : Dr. Robert Burke ||| Joseph Mazzello : Timothy « Tim » Murphy ||| Ariana Richards : Alexis « Lex » Murphy ||| Thomas Rosales Jr. : Carter, un soldat ||| Camilla Belle : Cathy Bowman ||| Cyd Strittmatter : Mme. Bowman ||| Robin Sachs : M. Bowman ||| Ross Patridge : l'homme curieux dans le métro ||| Ian Abercrombie : le majordome de John Hammond ||| David Koepp : l'homme dévoré par le T-Rex à San Diego (caméo) ||| Bernard Shaw : lui-même (présentateur de CNN) ||| Eli Roth : un homme lisant dans le métro (non crédité) ||| Steven Spielberg : un homme mangeant du pop-corn (non crédité) |
49 lectures |
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Le Monde perdu : Jurassic Park |
 Retour à Jurassic Park |
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Le Monde perdu : Jurassic Park |
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| Quatre ans sont passés après l’échec cuisant et sanglant de Jurassic Park. Mais contrairement aux prévisions les dinosaures ont survécu et ont proliféré en toute liberté… Le Dr Ian Malcolm, que le milliardaire John Hammond a contacté, refuse catégoriquement de se joindre à l’expédition scientifique qui doit se rendre sur place, jusqu’à ce qu’il apprenne que sa fiancée est déjà sur l’île. Mais ce qu’ignore Ian c’est qu’une autre équipe, de type militaire poursuivant les profits financiers, est également en route. |
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Quelques mots sur |
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| Ce deuxième opus du retour des reptiles de l’ère secondaire braque les projecteurs sur quelques paradoxes du siècle dernier. Pourquoi dépenser des sommes astronomiques pour édifier un parc d’attractions sur une île lointaine alors qu’il suffirait de réimplanter les dinosaures au voisinage des métropoles ? Et voilà une bande de chasseurs de grands fauves partie pour un safari en terre préhistorique et un réalisateur ressuscitant les scènes de ces grands films de chasse africaine (Image 2). Face à ces « Avida Dollars » se dresse un groupe, réduit aux acquêts, de défenseurs de la nature et de sa biodiversité (Image 1). Ils savent le Tyrannosaurus Rex particulièrement agressif, mais qu’importe ? Ils recueillent un « bébé » T Rex et l’installent dans leur caravane afin de lui soigner le fémur (Image 3). Et voilà une bande d’inconscients suspendue aux parois d’une caravane oscillant au-dessus d’un vide abyssal et un réalisateur montant une scène de suspens particulièrement spectaculaire et efficace (Image 4). Mais revenons-en aux assoiffés de billets verts. Plus de la moitié des chasseurs ont été bectés par la faune carnassière locale (Image 5), mais qu’importe ? Par bateau, il achemine le redoutable Tyrannosaurus Rex jusqu’au San Diego. Et voilà un réalisateur qui s’apprête à servir avec maestria un remake de King Kong version roi des lézards tyrans (Image 7). Le fier représentant des Tyrannosauridae s’est enfui de sa cage, a erré dans la ville, détruit quantité de mobilier urbain et tué une flopée de quidams, mais qu’importe qu’il faille l’abattre, puisque son bébé est en lieu sûr ? Face à ces avides de dollars se dresse de nouveau un groupe, réduit à un couple, de défenseurs de l’environnement et du biotope. Il sauve le bétail et obtient qu’il soit reconduit dans son île sous bonne escorte… des fois que ? Paradoxe des uns, inconscience des autres ? Et que faire du principe de précaution dans cette affaire ? Rien puisque les uns comme les autres s’accordent pour que l’île ne soit pas rasée… Mais que chacun se rassure tout ceci n’est que fiction hollywoodienne. Dans la vraie vie y’a longtemps que T-Rex aurait boulotté les défenseurs de sa vie comme dans la fiction il graille l’homme aux dollars (Images 6-8). |
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