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Nikolaj Lie Kaas : Carl Mørck ||| Per Scheel Krüger : Anker ||| Troels Lyby : Hardy Henningsen ||| Fares Fares : Assad ||| Søren Pilmark : Marcus Jacobsen ||| Divya Das : Nyhedsvært ||| Anne Bærskog Hauger : Viggas Rasmussen ||| Øyvind B. Fabricius Holm : homme mort ||| Sonja Richter : Merete Lynggaard ||| Rasmus Botoft : Tage Baggesen ||| Patricia Schumann : Søs Norup ||| Marie Mondrup : Helle Andersen ||| Mikkel Boe Følsgaard : Uffe Lynggaard ||| Michael Brostrup : Børge Bak |
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Miséricorde |
Retour à Département V |
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Miséricorde |
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Au terme d’une intervention qui a coûté la vie à l’un de ses collègues et laissé son seul ami paralysé, l’inspecteur Carl Mørck est nommé à la tête du nouveau département V dont les effectifs sont réduits à son assistant Hafez el Assad et à lui-même. Leur tâche est aussi simple que rébarbative : ils doivent clore les affaires non classées en rédigeant un rapport banal. Mais très vite l’attention de Carl Mørck est attirée par le dossier relatif à la disparition de Merete Lynggaard qui est survenue cinq ans auparavant. Pour Carl Mørck certains éléments du dossier ne cadrent pas avec les conclusions de l’enquête… |
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Quelques mots sur |
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« Département V », « Cold Case » ? Oui, peut-être, mais alors un « Cold Case » nordique, un « « Cold Case » qui s’enlise dans l’extrême sordide, un « Cold Case », où rien n’est épargné aux spectateurs, ni la violence, ni l’angoisse, ni la démence destructrice d’un criminel méthodique, ni l’au-delà du borderline du commissaire, officier incontrôlable et têtu qui fonctionne à l’instinct et dont les raisons de vivre se résument au néant. Relégué au fin fond des archives poussiéreuses et sombres, le duo de policiers s’enfonce, avec hargne pour l’un (Image 8), avec humanité pour l’autre (Image 4), dans une enquête qui prend des allures christiques Avec cette première adaptation d’un roman policier de Jussi Adler-Olsen, le réalisateur signe un métrage que charpente de bout en bout le suspens hitchcockien. Grâce à d’adroites analepses (Images 1-3-5-6) et à un montage en parallèle (Images 2-7), le spectateur a toujours une connaissance quasi complète des dessous de l’intrigue, de sorte qu’il se demande en permanence quand et comment les enquêteurs vont découvrir ce qu’il sait, quand et comment ils parviendront à retrouver la disparue. |
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