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Il bacio di Dracula |
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Il bacio di Dracula |
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Jonathan assiste en compagnie de sa fiancée Mina et de quelques amis à une réception. Dans la soirée il rencontre Vladislav Tepesh, un riche héritier qui projette d’acquérir, pour le compte de son oncle, Dracula, une propriété à Budapest et qui souhaite recourir à ses services. Jonathan accepte la proposition de Vladislav et décide d’ajourner son mariage afin de se rendre en Transylvanie où l’attend le Comte Dracula, pressé de conclure l’affaire. Un accident de voiture contraint Jonathan à terminer son périple à bord d’un vieux coche… Très vite Jonathan réalise qu’il est détenu prisonnier par le Comte… et pire encore que les séduisantes créatures qui vivent dans le château pourraient bien être des vampires ! Pendant ce temps, Dracula, qui a aperçu une photographie de Mina, part pour Budapest… |
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Quelques mots sur |
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La rigueur victorienne, qui corsetait la sexualité et déniait aux femmes le droit au plaisir, rendait crédible l’attrait qu’exercé Dracula sur les femmes. Il leur permettait d’accéder à ces sensations prohibées, il leur révélait les tréfonds de leurs êtres, il était en quelque sorte l’agent de leur libération, c'est-à-dire le mal absolu en cette fin de 19e siècle. Autant dire que ceci n’est plus de mise en ce début du 21e siècle et encore moins dans le milieu que met en scène ce métrage. Et c’est probablement là que se niche la principale faiblesse de ce « Dracula » de Roger Young (1) qui par ailleurs est de bonne facture et d’une grande fidélité au roman de Bram Stoker. 1- https://fr.wikipedia.org/wiki/Roger_Young |
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