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Dracula II: Ascension |
 Retour à Dracula |
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Dracula II: Ascension |
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| Chacun se souvient que Dracula est mort à la fin de « Dracula 2000 »… Son corps est transporté à la morgue pour y être analysé par des étudiants en médecine. Ceux-ci reçoivent une alléchante proposition : un inconnu leur propose 30 millions de dollars pour récupérer le corps. Ils acceptent… mais avant, ils transportent le corps dans une propriété isolée afin d’examiner plus avant le corps. Et ce groupe d’écervelés le plonge dans une baignoire peine de sang… et la bête revient à la vie plus agressive que jamais… |
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Quelques mots sur |
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| Le spectateur, amateur de cuisine rapide de qualité, séduit par l’amusante recette du précédent opus de la saga du Dracula de Patrick Lussier se réjouissait par avance du présent métrage qu’il suppose aussi inventif que bondissant. Mais après une introduction à la flamboyance contenue, dans une salle de bain lépreuse à la baignoire débordant de sang frais, le susdit doit parcourir un long tunnel narratif dont l’action se cantonne dans la grisaille d’un entrepôt industriel abandonné aux allures de terrain de basket. Dépité par ce défilement d’images fades, support d’une intrigue banale, le regardeur s’apprête à jeter l’éponge quand brusquement jaillit un dénouement nerveux qui ne se résume pas au twist attendu. Chacun le sait depuis le premier opus, Dracula n’est autre que Judas Iscariote, compagnon félon du Christ qui avant d’être ce traître fut son ami et son confident. Et lorsqu’il révèle la Vérité, Father Uffizi, qui s’apprête à le décapiter, ne peut que suspendre son geste en s’écriant : « Mensonge »… et le spectateur friand de ragots de se demander : « mais qu’a-t-il bien pu lui divulguer ? » Voilà qui présage d’un troisième opus des plus subversifs ! A moins qu’il ne s’agisse que d’un effet de manche… |
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