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Dracula Rising |
 Retour à Dracula |
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Dracula Rising |
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| Durant le vernissage, où Theresa présente ses travaux de restauration, cette même Theresa rencontre un certain Vlad. Theresa succombe immédiatement au charme de l’individu. Quelque temps plus tard, Theresa s’envole pour la Roumanie où elle doit rejoindre un monastère afin d’y restaurer divers tableaux. Elle est accueillie par un certain Alex… et Vlad, qui l’a mystérieusement précédée. A ce stade du récit, des précisions s’imposent : Theresa est la réincarnation de l’amour de Vlad que l'inquisition brula pour sorcellerie. Alex est un vampire qui ne rêve que de croquer Theresa. Vlad est le fils de Dracula qui ne souhaite que soustraire Theresa aux dents d’Alex. Capito ? |
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Quelques mots sur |
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| Roger Corman (1), n’est pas seulement un réalisateur et un producteur de séries B s’inscrivant à la remorque de succès cinématographiques, il a aussi permis à de réels talents de faire leur premier pas. Malheureusement, telle n’est la configuration de ce « Dracula Rising » (2). Profitant du renom du Dracula de Francis Ford Coppola, il confie le soin à Fred Gallo, un réalisateur à la filmographie famélique, le soin de tourner ce métrage. Celui-ci s’entoure de deux scénaristes Rodman Flender, Daniella Purcell, et d’un casting qui se révèle à l’usage peu convaincant. Guidé par un scénario, écrit les quatre mains et imaginé par deux cerveaux, qui se révèle au déroulé rachitique, le metteur en scène aligne les images romantiques et éculées, hache son récit de flash-back aux arrière-goûts de réminiscences, inonde les séquences de filtres lumineux et coud le tout de fugaces solarisations. Et pendant ce temps-là, le spectateur insomniaque baille à se décrocher la mâchoire... Au point qu’elle choit entre ses chaussures lorsque vient le temps du dénouement et que lui est servie une bouillie infâme, à la théâtralisation pitoyable et aux effets spéciaux saugrenus. 1- https://fr.wikipedia.org/wiki/Roger_Corman 2- Notons l’absence de Dracula dans ce rising |
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