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David Niven : Comte Dracula ||| Teresa Graves : Comtesse Vampira ||| Nicky Henson : Marc ||| Jennie Linden : Angela ||| Linda Hayden : Helga ||| Andrea Allan : Eve ||| Veronica Carlson : Ritva ||| Minah Bird : Rose ||| Freddie Jones : Gilmore ||| Frank Thornton : M. King ||| Peter Bayliss : Maltravers ||| Cathie Shirriff : Nancy ||| Aimi MacDonald : Pensionnaire de l'hôtel ||| Patrick Newell : Pensionnaire de l'hôtel ||| Kenneth Cranham : Paddy, le délinquant ||| Carol Cleveland : Jane, la victime du délinquant ||| Luan Peters : Secrétaire de Pottinger ||| Nadim Sawalha : Représentant de la compagnie aérienne ||| Marcia Fox : Hôtesse de l'air ||| Penny Irving : une Playboy Bunny ||| Hoima McDonald : une Playboy Bunny ||| Nicola Austin : une Playboy Bunny ||| David Rowlands : un ivrogne ||| Ben Aris : un policier |
47 lectures |
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Les Temps sont durs pour Dracula |
![]() Retour à Dracula |
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Les Temps sont durs pour Dracula |
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Le Comte Dracula vit dans le fol espoir de ressusciter son amour d’antan, Vampira. Pour ce faire, il invite dans son château quelques belles touristes parmi lesquelles il espère dénicher un rhésus compatible. Mais lorsque Vampira passe de trépas à vie, elle affiche un joli grain de peau noir… autant dire que Dracula doit quitter la Transylvaine. A Londres, pendant que Vampira ne pense qu’à danser et à courir le gueux, Dracula se met en quête d’une nouvelle donneuse à même de redonner sa couleur d’origine à Vampira. Mais le sort en décide autrement et c’est Dracula qui vire au noir… |
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Quelques mots sur |
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Entre 1932 et 1983, tourne dans plus de quatre-vingt-dix longs métrages parmi lesquels les deux très étranges « panthère rose ». Entre ces deux métrages, il prête son maintien aristocratique à cette parodie de Dracula qui si elle ne constitue pas un chef-d'œuvre cinématographique surclasse d’évidence le monceau de bouffonnerie sous lequel croule le Comte. Exploitant adroitement l’anachronisme, qui s’impose à l’image, entre la froideur distante, aux remugles réactionnaires, du Comte Dracula (1) et l’insouciante agitation de la jeunesse qui ne respecte plus rien (2), le réalisateur parvient à tricoter un honnête métrage exempt de temps morts et autres maladresses. Certes les spectateurs friands de gore ou de plaisanteries de salle de garde ressortiront de la projection de ce film un goût de sang frelaté à la bouche, mais ils devront admettre que les années 70 n’étaient pas synonymes de puritanisme mais d’une liberté rafraîchissante (3) qui mériterait d’être redécouverte… 1- Images 2-8 2- Images 4-5 3- Images 1-3-7 |
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