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| Harry Nilsson : comte Downe / musicien ||| Ringo Starr : Merlin ||| Freddie Jones : The Baron ||| Suzanna Leigh : Amber ||| Dennis Price : Van Helsing ||| David Bailie : chauffeur ||| Shakira Caine : gouvernante ||| Morris Bush : monstre ||| John Colclough : Bill ||| Nita Lorraine : Gorgon Woman ||| Skip Martin : Igor ||| Dan Meaden : comte Dracula ||| Rachelle Miller : Club Hostess ||| Beth Morris : Wendy ||| Jenny Runacre : femme en noir ||| Hedger Wallace : vampire ||| Lorna Wilde : comtesse Dracula ||| Derek Woodward : loup-garou ||| John Bonham : musicien : comte Downes ||| Peter Frampton : musicien : comte Downes ||| Ricki Farr : musicien : comte Downes ||| Bobby Keys : musicien : comte Downes ||| Keith Moon : musicien : comte Downes ||| Jim Price : musicien : comte Downes ||| Klaus Voormann : musicien : comte Downes ||| Leon Russell : musicien (non crédité) |
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Le Fils de Dracula |
 Retour à Dracula |
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Le Fils de Dracula |
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| Le Comte Dracula a été assassiné par un mystérieux personnage. Le siège de Prince des Ténèbres échoit à son fils, un certain Comte Downe. Convoqué à Londres, afin d’être investi du titre, ce jeune Comte tombe amoureux de la belle Amber, une mortelle qu’il ne peut approcher. Et voila le fils de Dracula qui souhaite ardemment renoncer à sa charge et devenir un vulgaire mortel. |
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Quelques mots sur |
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| Ce film « musical » (1), qui met en vedette deux stars de la rock music, Harry Nilsson (Image 3), dans le rôle-titre et Ringo Starr dans celui d’un Merlin chevelu et barbu (Image 4), malgré un scénario original peina a trouver un distributeur et ne connut qu’un très maigre succès lors de sa sortie. ; Aujourd’hui encore, il n’est pas disponible en DVD, mais reste regardable dans une qualité médiocre sur Youtube. Dans ces conditions, il est difficile de cerner les raisons exactes du désintérêt du public pour ce métrage. Est-ce l’articulation maladroite entre « film » et musique ? L’outrance ridicule de certaines scènes et certains maquillages (Image 1) ? L’absence de l’horreur baroque que laissait espérer le mariage de Dracula et du rock (Image 2) ? Ou la fugacité d’images d’un érotisme décadent (Image 5-6) ? A moins que ce ne soit le côté fondamentalement fleur bleue de l’intrigue (Image 7-8). Notons que la sortie du film s’accompagna de celle de l’album d’Harry Nilsson contenant les chansons du film et quelques-uns des dialogues. 1- Il ne faut pas le confondre avec « Son Of Dracula » de 1943 |
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