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Chi o suu bara |
![]() Retour à Dracula |
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Chi o suu bara |
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Le professeur Shiraki, enseignant en psychologie, est nommé dans un pensionnat pour filles. Lors de sa première nuit dans cet établissement, Keiko, une étudiante récemment disparue, et la femme du directeur, morte depuis peu dans un accident de voiture, peuplent ses rêves. Mais s’agit-il vraiment de rêves ? L’étrange et inquiétante légende que lui raconte le médecin scolaire l’incite à supposer le contraire. |
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Quelques mots sur |
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Le Dracula japonais, du moins celui de ce film, n’a qu’un lien de parenté incertain avec celui qui sévit en Transylvanie. Malgré tout, il est bien plus convaincant que beaucoup de ses déclinaisons US, latino-américaines ou européennes. Autour d’un scénario linéaire et dépourvu d’originalité, le réalisateur transforme son métrage en une sorte de huis clos claustrophobique qui insuffle une atmosphère pesante d’où suinte l’angoisse. Certes, d’aucuns jugeront le dénouement par trop simple et rapide, mais ils admettront que l’intrigue, malgré une certaine lenteur dans son cheminement, ne connait aucun temps mort. Portées par une bande-son particulièrement efficiente, les images, souvent fascinantes, s’enchainent naturellement et les scènes coulent avec fluidité. Au final, cette « petite » série B, en raison de son budget que l’on devine modeste, se révèle bien plus captivante que certaines productions d’artistes de renommée mondiale. |
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