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65 lectures |
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El imperio de Drácula |
![]() Retour à Dracula |
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El imperio de Drácula |
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Voilà trente ans, le père de Luis Brener trouva la mort en transperçant le cœur de Dracula d’une épée… Quelques instants avant sa mort, la mère de Luis Brener lui révèle l’horrible réalité : Dracula n’est pas vraiment mort, par une nuit de pleine lune de ce mois d’octobre il reviendra à la vie ! Luis Brener doit retrouver la croix en chêne, seule capable de détruire définitivement cette ignoble créature… |
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Quelques mots sur |
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« La Mansión Gris. Ici vécut et mourut le Baron de Draculstein, mais... Y vécut-il effectivement ? Et si tel est le cas... mourut-il réellement ? Personne ne sait, personne ne sut… ce fut horrible ». Après cette phrase d’introduction que narre une voix off, le spectateur avide d’action découvre deux individus qui se battent avec l’énergie du désespoir. L’un d’eux transperce le cœur de l’autre de la lame affilé d’une épée : Dracula, reconnaissable à ses longues canines, meurt (5 minutes). Cut. Quatre personnes (3 femmes, un homme) se pressent autour du lit d’une mourante. Celle-ci dans un ultime effort tente de convaincre son fils des dangers qui le guettent (3 minutes). Cut. Au milieu d’un bois, où stagne la brume, un couple batifole. L’homme évoque l’inquiétante légende qui plane sur ce lieu. La femme a froid, l’homme lui propose d’aller chercher son châle resté dans la carriole. Surgissant de nulle part, une carriole percute l’homme, la femme crie… le cocher kidnappe la femme qui s’est évanouie (5 minutes). Cut. Dans une crypte mystérieuse, la femme repose sur une grille au-dessus d’une pierre tombale, son ravisseur lui perce le cœur. Son sang s’écoule sur la pierre qui se met à pivoter : le corps absent de Dracula apparait, passant du néant au squelette, du squelette à la vie… (3 minutes). Cut. Une diligence transporte quatre personnes (3 femmes, un homme). Elle se renverse dans le fossé… une autre diligence, tirée par deux magnifiques chevaux noirs, apparait. Cut. (…) Et le métrage déroule sa surprenante poésie horrifique faite de grincements de portes, de claquements de loquets et d’une étrange bande sonore où la musique s’apparente à un bruitage inquiétant. Les vampires traversent les murs ou les miroirs, une immense crypte s’étend sous un caveau et Luis Brener ne s’étonne de rien, ni de cette diligence sans cocher qui apparait à point nommé, ni de ces portes qui s’ouvrent, ni de la disparition inexpliquée de l’une des femmes qui l’accompagnait… de rien ! Et le spectateur esbaudi ne s’étonne pas de voir une carriole accidentée s’embraser alors qu’elle ne transportait aucun liquide inflammable… Les spécialistes affirment qu’il existerait une version en couleur de ce métrage que réalisa le prolixe Federico Curiel (1). Pour autant seule une version en N et B est disponible sur YouTube (2). 1- https://fr.wikipedia.org/wiki/Federico_Curiel 2- https://www.youtube.com/watch?v=zRs0wOJceCA |
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