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Dracula vampire sexuel |
 Retour à Dracula |
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Dracula vampire sexuel |
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| Fuyant le régime communiste, le fils de Dracula, à moins que ce ne soit Dracula himself, s’est réfugié en Californie, où il fréquente les boites de nuit, à moins qu’il ne soit lui-même propriétaire d’un night-club. L’une de ses victimes se met à dévorer de la viande crue et bien rouge… |
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Quelques mots sur |
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| Champ, contre champ, gros plan, effets kaléidoscopiques… se succèdent sur l’écran que saturent les filtres psychédéliques d’une époque hippie… canines en plastique et fausse barbiche, plaques d’eczéma et rousse plantureuse à la carrière éphémère viennent distraire le spectateur avachi à l’œil vitreux. Mais miracle de l’export, lorsque ce navet mitonné à feu doux débarque en Europe, Mario D'Alcala l’enrichit d'un certain nombre d'inserts polissons dont l’objet était de rendre la denrée moins indigeste (1). Malheureusement, ce métrage, sorti en France en 1976, n’a jamais eu les honneurs du VHS ou DVD et le spectateur doit se contenter de la version US expurgée d’inserts. Mais il aura droit en bonus à une seconde pépite du grand n’importe quoi : « Dracula, ce vieux cochon » (Dracula, the dirty old man) 1- Une confusion extrême règne autour de ce film. Il semblerait qu’il en existe une version gay (intitulée « Does Dracula really suck ? », alias « Dracula and the boys »). Mais certains affirment qu’il s’agirait de deux œuvres distinctes… Qui croire ? Telle est la question |
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