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| Christopher Lee : Dracula ||| Bernard Ménez : Ferdinand Poitevin ||| Marie-Hélène Breillat : Nicole Clément ||| Catherine Breillat : Hermine Poitevin ||| Bernard Alane : Jean ||| Jean-Claude Dauphin : Cristéa/Christian Polanski ||| Mustapha Dali : Khaleb ||| Anna Gaël : Miss Gaylor ||| Claude Génia : Marguerite ||| Xavier Depraz : majordome ||| Cédric Dumond : petit-fils de Dracula ||| Anna Prucnal ||| Jean Lescot ||| Raymond Bussières : vieil homme à l'ANPE ||| Lyne Chardonnet : infirmière ||| Robert Dalban : réceptionniste hôtel ||| Jean-François Dérec : gardien hôpital ||| Patrick Feigelson : soldat ||| Gérard Jugnot : responsable de l'usine ||| Albert Simono : vendeur de cercueils ||| Marthe Villalonga : femme dans le métro ||| Dominique Zardi : agent ||| Jean-Marie Arnoux ||| Arlette Balkis ||| Jacques Boudet ||| Branko |
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Dracula père et fils |
 Retour à Dracula |
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Dracula père et fils |
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| Transylvanie, 1784 : Dracula kidnappe la belle Herminie et l’engrosse. Ferdinand né de cette union. Mais la malheureuse Hermine, devenue vampire, ne survit pas à un sournois rayon de soleil. Durant le siècle, qui suit cette triste disparition, Dracula doit composer avec les facéties de son fils qui se refuse à succès le sang directement à la gorge de quelques victimes… Mais voilà que les bolcheviques envahissent le château… Dracula et son fils passent à l’Ouest dans des cercueils de marins… Mais comme le veut la tradition, ces cercueils sont jetés à la mer. Et Dracula père dérive jusqu’en Grande-Bretagne, où il devient vedette de films de vampire, pendant que Dracula fils échoue en France où il embrasse la dure condition de travailleur immigré. A l’occasion d’un tournage à Paris, père et fils se retrouvent… Mais ils tombent tous les deux amoureux de la même femme, la belle Nicole productrice de spots publicitaires. Le fils fera chavirer le cœur de la belle pendant que le père brûlera au soleil. |
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Quelques mots sur |
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| Inspiré du roman « Paris Vampire » de Claude Klotz (1), le projet initial de ce métrage ne peut qu’être glorifié : faire rire le spectateur que sa semaine de travail a exténué. Malgré l’alliance du fantastique et de l’humour (Images 5-7), l’omission du gore et du sexe, les rares séquences à relents sociaux autour de l’immigration et les quelques allusions œdipiennes, ce « Dracula père et fils » ne satisfera probablement que les adulateurs de Bernard Ménez (2) tant il occupe l’avant-scène (Images 3-4-6). Les autres, ceux qui sont allergiques à la mine velléitaire de l’acteur, il leur est bien sûr vivement déconseillé de visionner le film (3) 1- https://fr.wikipedia.org/wiki/Patrick_Cauvin 2- https://fr.wikipedia.org/wiki/Bernard_Menez 3- Si dans son intervention à l'émission le Club de la chaine câblée Ciné Cinéfil vers la fin des années 1990, le cinéaste Édouard Molinaro n'hésita pas à qualifier Dracula Père et Fils de « film raté », l'acteur Bernard Menez, en revanche, profita de son passage à un autre numéro de cette même émission pour affirmer en être particulièrement fier. (Wikipédia) |
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