|
|
|
Dennis Price >... >Doctor Frankenstein ||| Howard Vernon >... >Drácula ||| Paca Gabaldón >... >María ||| Alberto Dalbés >... >Doctor Jonathan Seward ||| Britt Nichols >... >Chica vampira ||| Geneviève Robert >... >Amira - la gitana ||| Anne Libert >... >Primera víctima de Drácula ||| Luis Barboo >... >Morpho ||| Brandy >... >El Hombre Lobo ||| Fernando Bilbao >... >El Monstruo ||| Josyane Gibert >... >Estela - la cantante de cabaret |
315 lectures |
|||||||
Dracula prisonnier de Frankenstein |
Retour à Dracula |
|||||||
Dracula prisonnier de Frankenstein |
||||||||
Le docteur Seward excédé par les forfaits de Darcula trucide ce dernier. Mais le docteur Frankenstein, son monstre et son assistant, Morpho, ressuscitent la bête ! Et celle-là ne tarde pas à goûter de nouveau au sang frais… Secondé par une bohémienne et un loup-garou de ses amis, le Dr Seward repart en guerre… |
||||||||
Quelques mots sur |
||||||||
Né soit en 1930, soit 1936, Jésus Franco fit très vite sauter le « e » final de son premier prénom puis adopta une multitude de pseudonymes pour signer ses métrages. Probablement jugeait-il le prénom Jésus trop lourd à porter et Franco quelque peu délicat pour un cinéaste qui se voulait libre de toutes entraves Ce bricoleur de série B, au budget toujours malingre, capable de tourner simultanément plusieurs versions d’un même film ou de recycler de vielles séquences dans ces nouveaux métrages, offre ici à ses admirateurs de plus en plus nombreux depuis que la cinémathèque lui a consacré une rétrospective, un film à l’auto maniérisme invasif. Escroquerie ou coup de génie ? La question est posée et restera probablement et de toute éternité sans réponse. Certains ont vu dans cette succession de scènes quasi mutiques le scénario cité ci-dessus, autres, sans contredire les premiers, ont vu l’un des films expérimentaux les plus intrigants du réalisateur. D’autres encore n’en ont retenu que zooms et flous, faux raccords et absence de direction d’acteur, en deux mots ennui et bâillements. Qui croire ? La critique pénitente qui encense ce qu’elle brula quelques décennies auparavant ou l’amateur de gore sanglant et hurleur ? Répétons-le : la question est posée et restera probablement et de toute éternité sans réponse. Pour autant, le visionnage de ce métrage reste un luxe superfétatoire |
|
|
|