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Christopher Lee : Comte Dracula ||| Dennis Waterman : Simon Carlson ||| Jenny Hanley : Sarah Framsen ||| Patrick Troughton : Klove ||| Michael Ripper : Landlord ||| Michael Gwynn : le prêtre ||| Wendy Hamilton : Julie ||| Christopher Matthews : Paul Carlson ||| Anouska Hempel : Tania ||| Bob Todd : le bourgmestre ||| Delia Lindsay : Alice, la fille du bourgmestre ||| David Leland : le premier policier ||| Richard Durden : le second policier ||| Toke Townley : l'homme au chariot ||| Margo Boht : Maria, la femme de Landlord |
81 lectures |
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Les Cicatrices de Dracula |
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Les Cicatrices de Dracula |
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Une chauve-souris a insufflé la vie Dracula… Et presque aussitôt, une jeune villageoise est retrouvée morte avec dans son cou la marque du vampire. Excédés, les villageois tendent d’incendier le château du Comte. Mais à leur retour, ils découvrent les cadavres de toutes leurs femmes jonchant les dalles de l’église. Une meute de chauves-souris a eu raison de leur vie. Dans la ville voisine, le jeune séducteur, nommé Paul Carson, est surpris par le bourgmestre en compagnie de sa fille. Il échappe à la police, lancée à ses trousses, en sautant par la fenêtre. Mais les chevaux du fiacre, dans lequel il chute, s’emballent… Son périple de ce fugitif galant le conduira jusqu’au château de Dracula où il succombera aux charmes de Tania, la captive du Comte avant d’être empalé par ce dernier… Simon et sa fiancée Sarah, inquiets de la disparition de Paul, partent à sa recherche et se rendent au château de Dracula… |
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Quelques mots sur |
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La Hammer (1) en est à son sixième opus de la série Dracula. Autant dire qu’elle connait tous les ingrédients de la formule et n’a pas besoin de s’embarrasser de circonvolutions narratives superflues. Lors du précédent métrage, Dracula, comme d’habitude, avait été éliminé par ses vaillants adversaires… qu’importe ? Il suffit de le ressusciter afin qu’il puisse commettre de nouveaux forfaits. Ainsi, Christopher Lee (2) (Image 8) peut se redresser de son lit de mort et, mutique, statique et sombre, s’abattre sur les gorges laiteuses des jeunes femmes. Car Dracula est un fieffé cavaleur ! Il suffit qu’un jupon passe à sa portée pour qu’il se précipite sur ce corps innocent ou qu’un joli minois croise son regard pour qu’il poursuive la belle de ses insistantes faveurs qui à n'en pas douter la feront se pâmer (Image 3). Ainsi, d’un métrage à l’autre rien ne changerait, tout perdurerait ? Que nenni ! La Hammer, qui a confié la direction à Roy Ward Baker (3), décide d’accentuer deux aspects fondamentaux de la série : la violence graphique et l’érotisme. Et pour l’un comme pour l’autre, les images-chocs sont au rendez-vous. Bien plus que l’abondance des poitrines généreuses que contiennent difficilement les décolletés, la Hammer offre aux spectateurs tétanisés par la surprise la vision d’un dos féminin nu de la tête aux pieds (4). Quant au versant gore, le métrage dispense son lot d’hémoglobine et d’embrochage. 1- https://fr.wikipedia.org/wiki/Hammer_Film_Productions 2- Christopher Lee affirme, dans le commentaire qui accompagne le DVD, n’avoir jamais vu ce métrage 3- https://fr.wikipedia.org/wiki/Roy_Ward_Baker 4- Celui de Delta Lindsay |
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