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| Shailene Woodley : Beatrice « Tris » Prior ||| Theo James : Tobias « Quatre » Eaton ||| Ansel Elgort : Caleb Prior ||| Miles Teller : Peter ||| Zoë Kravitz : Christina ||| Naomi Watts : Evelyn Johnson-Eaton ||| Jonny Weston : Edgar ||| Keiynan Lonsdale : Uriah ||| Jeff Daniels : David ||| Maggie Q : Tori ||| Emjay Anthony : Hector ||| Courtney Hope : Anna ||| Joseph David-Jones : Hollis ||| Georgina Haig : Sabine ||| Tyler Hoechlin : Duncan Johnson ||| Octavia Spencer : Johanna ||| Willow Shields : Ginny Matthews ||| Daniel Dae Kim : Jack Kang ||| Jennifer Carpenter : Eleonore Croft ||| Bill Skarsgård : Matthew ||| Nadia Hilker : Nita ||| Andy Bean : Romit ||| Ray Stevenson : Marcus Eaton ||| Troian Bellisario : Tara Eaton ||| Mekhi Phifer : Max ||| Joseph David-Jones : Hollis ||| Ashley Judd : Natalie ||| Xander Berkeley : Phillip ||| Parisa Johnston : Regina ||| Rebecca Pidgeon : Sarah ||| Konrad Howard : Jasper ||| Theo Howard : Eulis ||| Lucella Costa : Laura ||| Maria Howell : un membre du conseil ||| Amy Parrish : Zoe ||| Ken DuBois : Tom ||| Janet McTeer : Edith Prior ||| Leonardo Santaiti : Leo |
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Divergente 3 : Au-delà du mur |
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Divergente 3 : Au-delà du mur |
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| Intrigués par le message des fondateurs et choqués par les pratiques du nouveau pouvoir, Tris, « Quatre » et leurs compagnons franchissent le haut Mur encerclant Chicago. Au-delà de la Clôture, ils traversent un no man's land hostile avant d’atteindre un mur invisible que leur ouvre le peuple fondateur. Mais très vite, alors que Tris se laisse séduire par le discours aimable du dirigeant, « Quatre » découvre que les intentions des fondateurs ne sont pas si pures qu’il y parait… Et pendant ce temps à Chicago les factions se préparent à la guerre… |
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Quelques mots sur |
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| Après la division de la cité en cinq factions, cette franchise ado-futuro-apocalyptique sert à son cœur de cible la division du monde en deux cités antagoniques, l’une servant de laboratoire biologique à l’autre. Ainsi, le métrage de ce troisième opus s’organise telle une fractale à noyaux multiples. 1- Les dissensions politiques intra-muros : les tenants de l’épuration vs les humanistes qui ne rechignent pas au coup de feu. 2- La razzia d’enfants vivant dans la Marge en vue d’expériences génétiques 3- La traitrise du fourbe David, dirigeant de la cité Radieuse vs la naïve candeur de Tris Mais en deux heures difficiles de graviter autour de ces trois noyaux et le scénario se cantonne dans un mouvement brownien qui ajoute au désordre de longues scènes explicatives quant au pourquoi et au comment. Le résultat de cette agitation chaotique a de quoi surprendre puisqu’au dynamisme le métrage préfère la facilité. 1- Les héros décident de franchir le mur réputé infranchissable : ils le franchisent. 2- Les héros traversent un désert que creusent des rigoles de sang : ils le traversent. 3- Les héros doivent faire face aux méchants venus leur expliquer la vie : une porte invisible s’ouvre sur de gentils sauveurs. 4- « Quatre » participe à une expédition dans la Marge : il découvre immédiatement la vérité. 5- Et ainsi de suite. Mais peut-être n’est-ce pas la facilité qui asphyxie cette dystopie ? Son manque de souffle provient peut-être d’une réaction claustrophobique ? De décors trop chargés en minutie, de décors qui envahissent l’écran, qui étouffent le jeu des acteurs, de décors, qui à sculpter trop l’octet, sentent le carton et le fond de couleur bleu ou vert (1)… 1- http://www.lunerouge.org/spip/article.php3?id_article=592 |
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