|
|
|
|
| Lang Jeffries : Francis Coplan ||| Sabine Sun : la comtesse ||| José María Caffarel : Langis ||| Robert Party : le vieux ||| Frank Oliveras : Fondane ||| Guido Lollobrigida : Montez ||| Osvaldo Genazzani ||| Guy Marly : le docteur Krauz ||| Luciana Gilli : Maya ||| Silvia Solar : Francine |
363 lectures |
|||||||
Coplan ouvre le feu à Mexico |
 Retour à Francis Coplan |
|||||||
| ||||||||
Coplan ouvre le feu à Mexico |
||||||||
| Dans le talon, à double fond, d'une jeune femme assassinée, un agent découvre un microfilm contenant des photographies de toiles de maître volées par les nazies. La revente de ces œuvres servirait-elle à financer les activités de groupuscule d'extrême droite ? Les Services secrets français confient à Coplan la délicate tâche de répondre à cette question. Et de fil en aiguille, de blonde en rousse et en brune, FX18 se retrouve dans l’antre des malfaisants, au fin fond du Mexique… |
||||||||
Quelques mots sur |
 |
|||||||
| Après « Coplan FX 18 Casse Tout », Riccardo Freda adapte une nouvelle et dernière fois un roman de Paul Kenny (1). Affirmant, comme précédemment, sa volonté d’inscrire son métrage dans la lignée des Bond, il en adopte tous les attributs ainsi que le schéma narratif. Une flopée de FX18 girls se presse aux alentours des bras de Coplan, pour mieux le trahir, le séduire ou le sauver ; un stylo explosif orne la poche de l’espion et son pistolet piégé se prête au traquenard ; les camions percutent les voitures, les bureaux sont blindés, les haciendas renferment des pièces au plafond amovible, des mines labyrinthiques courent jusqu’à la frontière des USA ; les avions se mitraillent et FX18 n’hésite pas à s’accrocher à un delta-plane ou à s’installer aux commandes d’un hélicoptère. L’humour parsème les dialogues ou ponctue les scènes d’action adroitement chorégraphiées. Certes les pisse-vinaigre se gausseront en suivant les voitures et avions miniatures qui terminent dramatiquement leur course dans des décors à leur échelle. Mais comment Riccardo Freda aurait-il pu précipiter dans des ravins de véritables voitures ou avions alors qu’il n’avait à sa disposition qu’un budget miséreux ? 1- Coplan fait peau neuve – Fleuve Noir N°527 -1966- |
|
