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Dylan O'Brien : Thomas ||| Kaya Scodelario : Teresa ||| Thomas Brodie-Sangster : Newt ||| Dexter Darden : Frypan ||| Giancarlo Esposito : Jorge ||| Aidan Gillen : Janson ||| Patricia Clarkson : Ava Paige ||| Ki Hong Lee : Minho ||| Will Poulter : Gally ||| Rosa Salazar : Brenda ||| Walton Goggins : Lawrence ||| Barry Pepper : Vince ||| Nathalie Emmanuel : Harriet ||| Jacob Lofland : Aris Jones ||| Katherine McNamara : Sonya ||| Dylan Smith : Jasper ||| Anthony Moussu : : Hampton ||| Jake Curran : le lieutenant de Wicked ||| Paul du Toit : le pilote du Berg |
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Le Labyrinthe : Le remède mortel |
![]() Retour à The Maze Runner |
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Le Labyrinthe : Le remède mortel |
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Persuadé que Minho se trouve à bord du train de l'organisation WICKED qui transporte des enfants immunisés, Thomas, Newt et Frypan et quelques autres résistants attaquent le convoi. Ils parviennent à délivrer les enfants, mais constatent avec amertume que Minho n’était pas à bord. Convaincus que leur ami est détenu dans les laboratoires de « la Dernière Ville », ils décident alors de rejoindre la cité interdite. |
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Quelques mots sur |
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Comme promis, par les studios lors de la sortie du deuxième opus, voici l’adaptation du troisième et dernier tome du cycle littéraire L'Épreuve de « James Dashner ». Après avoir abandonné la géomètre labyrinthique du premier volet au profit des longs couloirs à angle droit, des verticalités obliques et des déserts écrasés par le soleil, cet ultime volet de la saga convie le spectateur à la pure verticalité ascensionnelle et au retour en ville. Vitres, métal et lumières nocturnes présagent du pandémonium qui gronde sous le calme aseptisé de la cité se dressant à l’abri de son haut mur circulaire, muraille hérissée de nouvelles technologies. Et quoi de tel que le feu pour nettoyer l’oppression et engloutir les perfides traitres ? Le chaos règne en maître absolu, en ville et dans les corps, les corps des infectés, zombis mangeur d’hommes comme dans ceux des « résistants », martyrs vengeurs, et dans les esprits, dans ceux des héros, post adolescents invincibles. C’est l’heure des brasiers et du passé il convient de faire table rase, sur l’île déserte il ne faut rien amener. Et la dystopie débouche sur une utopie agreste. |
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