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Dylan O'Brien : Thomas3 ||| Thomas Brodie-Sangster : Newt4 ||| Kaya Scodelario : Teresa ||| Ki Hong Lee : Minho ||| Giancarlo Esposito : Jorge ||| Lili Taylor : Mary Cooper ||| Aidan Gillen : Janson ||| Nathalie Emmanuel : Harriet ||| Katherine McNamara : Sonya ||| Patricia Clarkson : Ava Paige ||| Barry Pepper : Vince ||| Rosa Salazar : Brenda ||| Jacob Lofland : Aris Jones ||| Dexter Darden : Poêle-à-Frire ||| Alexander Flores : Winston ||| Shawn Prince : David ||| Alex Knight : Aide ||| Randall D. Cunningham : Clint ||| Lora Martinez-Cunningham : la mère de Thomas ||| Tatanka Means : Joe ||| Jeremy Beccera : Riley ||| Matthew T. Melzter : Barkley ||| Terry Dale Parks : Carl ||| Jenny Gabrielle : Queue-de-Cheval |
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Le Labyrinthe : La Terre brûlée |
![]() Retour à The Maze Runner |
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Le Labyrinthe : La Terre brûlée |
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Après s’être échappés du labyrinthe, Thomas et ses potes s’imaginaient hors d’affaire. Mais ils découvrent très vite que leurs mystérieux sauveurs ont d’inquiétants projets à leur égard. Après s’être échappés du centre où les avaient conduits leurs mystérieux sauveurs, Thomas et ses potes ne s’imaginaient pas devoir affronter des hordes d’infectés, traverser une terre brulée par le soleil, errer parmi les gravats de métropoles en ruine, pour finalement être trahis et repris par les armées de WICKED. |
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Quelques mots sur |
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Exit la géométrie dont les voies sont aussi impénétrables que celle d’un dieu se déplaçant sous bonne escorte, place aux lignes de fuite, dans les gaines d’aération, le long des couloirs à angle droit, de galeries ou les escalators déglingués. Sous le soleil, les hangars, les tunnels partant des sous-sols et débouchant au 25° étage d’un building à la verticalité oblique, ils fuient les restes d’une humanité de série Z et les troupes évadées de la saga RoboCop. De-ci de-là, le spectateur éblouit par l’empilement numérique des décors apocalyptiques (Image 3-5) et l’enchainement frénétique des scènes d’action dépouillées de la « Love Story » convenue de l’opus précédent (Images 4-6) (1), reconnait quelques moments recyclés aux provenances diverses. Ainsi, la première apparition des malades de la Braise à un goût indéfinissable de déjà vu, l’instant vertigineux où Brenda repose sur une vitre qui se fendille rappelle la scène centrale de « Jurassic Park 2 » (Image 8), quant à l’arrivée au camp des rebelles elle évoque quelque reportage sur l’Afghanistan. Mais qu’importe puisque la chose est agencée avec un soin qui est à la hauteur de ses ambitions ? « La Terre Brûlée », film tiret, tiret haut, tiret bas, atteint sa cible : le public ado de corps ou d’esprit ; remplit son objectif : servir de liaison entre le premier opus et le troisième, tout en s’affirmant comme un objet filmique autonome (2). 1- Certes, l’absence d’amourette ouvre la voie à l’action pure, mais elle introduit un étrange sous-entendu : seuls les hommes, ou apparentés (Image 7), seraient dignes de confiance. 2- La structure du métrage évoque « Star Wars, épisode V : L'Empire Contre-attaque » |
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