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Patrick Bruel : Victor ||| Alice Taglioni : Alice ||| Marine Delterme : Hélène ||| Louis-Do de Lencquesaing : Pierre ||| Michel Aumont : le père ||| Marie-Christine Adam : la mère ||| Yannick Soulier : Vincent ||| Margaux Chatelier : Laura ||| Arsène Mosca : Arthur ||| Gladys Cohen : Mme Gozlan ||| Woody Allen : lui-même ||| Jacques Ciron : le bâtonnier ||| Jacques Herlin : le vieil homme |
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Paris-Manhattan |
Retour à Woody Allen |
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Paris-Manhattan |
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La jeune et très belle Alice ne parvient pas, au grand désespoir de sa famille, à dénicher l’âme sœur, si tant est qu’il s’agisse de l’âme. Mais qu’importe ? Il lui reste la figure tutélaire de Woody Allen auprès de laquelle se réfugier… Jusqu’à ce qu’elle rencontre Victor, un poseur d’alarmes, philosophe, désabusé, mais charmant. |
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Quelques mots sur |
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Le métrage s’ouvre sur une mise en abyme, à la manière de « Tombe Les Filles Et Tais-toi », se poursuit sur un faux air de « Looking For Eric », dans la mesure où Woody Allen occupe pour Alice la place que Cantonna occupait pour qu’Eric Bishop, et se referme par une vague évocation de « Coup De Foudre à Notting Hill » D’aucuns ont jugé que cette comédie romantique n’était même pas indigne du rayon légume du supermarché le plus proche ; d’autres au contraire l’ont qualifié de « Film exceptionnel par sa fraicheur et l'intelligence de ses dialogues ». Qui croire ? D'évidence, la réalisatrice était animée par la ferme volonté de confectionner un film à la manière de Woody Allen. Est-elle parvenue à concrétiser ses ambitions ? A chacun de se forger son opinion, sans perdre de vue, que même si tel n’était pas le cas, le métrage n’en est pas pour autant désagréable. En d’autres termes, qu’il convient de juger ce métrage pour ce qu’il est et non pas pour ce qu’il voulait être. |
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