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| Vincent Price:... :General Willis / Dr. Goldfoot || Fabian:... :Bill Dexter || Franco Franchi:... :Franco || Ciccio Ingrassia:... :Ciccio || Francesco Mulé:... :Colonel Doug Benson || Laura Antonelli:... :Rosanna || Ennio Antonelli:... :Goldfoot Henchman in Bathroom || Mario Bava:... :Furious Man at Fairground || Louis M. Heyward:... :American General || Moa Tahi:... :Hardjob - Dr. Goldfoot's Assistant || George Wang:... :Fong |
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L'Espion qui venait du surgel |
 Retour à Mario Bava |
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L'Espion qui venait du surgel |
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| Le Docteur Goldfoot, avec la complicité des Chinois, tente de mettre le feu entre les États-Unis et l'Union Soviétique. Pour ce faire, il expédie des bombes humaines, blondes, sensuelles et désirables, à une dizaine de généraux de l’OTAN… Bill Dexter parviendra-t-il à enrayer les plans du machiavélique Docteur Goldfoot ? |
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Quelques mots sur |
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| En 1965 sortait sur les écrans une parodie de James Bond, intitulé « Dr. Goldfoot and the Bikini Machine » Dr. Goldfoot, aidé de son assistant Igor, conditionnait de jeunes et jolies femmes afin qu'elles séduisent les grandes fortunes. Mais un jour, par inadvertance, l’une de ses créations se trompe et séduit un agent des services secrets Le métrage connait un grand succès et, un an plus tard, la firme American International Pictures décide de produire une suite, dans l’espoir de réitérer l’exploit. Ainsi, aux USA ce film est présenté comme le deuxième opus des aventures de l’ignoble docteur Goldfoot, pendant qu’en Italie il est annoncé comme un nouveau film avec le duo comique Franco Franchi et Ciccio Ingrassia (Images 6-7). Toujours centré sur la parodie des James Bond (Images 1-2) et les créatures un bikini jaune (Image 3), du docteur Goldfoot, devenues littéralement des bombes, ce film coule à pic sous l’effet d’une surcharge de comique aussi maladroit qu’insistant. Et l’on se met à regretter la légèreté des simagrées d’un Louis de Funès Notons que le titre, de cet insupportable long-métrage, provient, peut-être, non pas exclusivement d’une allusion au roman « L'Espion qui venait du froid », mais aussi du final : sorte de relecture d’un « Docteur Folamour » qui finirait sa chute en Sibérie… |
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