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| Mickey Hargitay : Hercule || Jayne Mansfield : Déjanire || Massimo Serato : Licos || Andrea Aureli : Fidoris, le sicaire de Licos || Tina Gloriani : Hyppolite la reine des Amazones || Giulio Donnini : Le grand prêtre || Rossella Como : Elea || Moira Orfei : Némea || Andrea Scotti : Tamanto || Arturo Bragaglia : Ialaos || René Dary : Le général || Sandrine : Livia, la servante de Déjanire || Olga Solbelli :Lachesi || Cesare Fantoni : Le roi d’Ecalia || Barbara Florian :Megaré, la femme d'Hercule || Giovanna Galletti : La sibylle || Gil Vidal : Le prince Achelous || Gianni Loti || Antonio Gradoli : Le capitaine des gardes || Aldo Pedinotti : Le monstre |
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Les Amours d'Hercule |
 Retour à Hercule |
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Les Amours d'Hercule |
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| Hercule veut venger sa femme Megera qui a été assassinée par Licos sur ordre du roi d’Ecalia. Mais le roi a été tué par le fourbe Licos… Aussi lorsqu’Hercule se présente à Ecalia pour défier le roi, il trouve en face de lui sa fille, la belle Dejanire… dont il tombe immédiatement amoureux…malheureusement, elle est déjà fiancée à Achéloos de Mycènes! Le dépit pousse Hercule à quitter la cité… mais lorsqu’il apprend qu’Achelous a été assassiné et que tous l’accusent, il rebrousse chemin afin de prouver son innocence. Mais il est trop tard, le probable meurtrier a quitté la cité. Hercule part aussitôt à sa poursuite. Chemin faisant, il affronte l'Hydre de Lerne et est recueilli par la reine des Amazones qui recourt à un philtre pour revêtir les traits de la belle Dejanire afin de le séduire plus rapidement. Hercule est charmé, mais lorsqu’il apprend que celle-ci transforme ses amants en arbres, il retourne à Ecalie, où Déjanire a été jetée en prison par le traitre Licos. Hercule parviendra-t-il à sauver la belle ? |
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Quelques mots sur |
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| Des bribes de la mythologie grecque sont assemblées, les unes aux autres, pour un patchwork bigarré où les noms des protagonistes servent de fil de couture. Mais cela doit-il surprendre le regardeur ? Tant il semble évident que les motivations du producteur, Alberto Manca, ne relevaient nullement de l’édification des masses incultes. En recourant, pour le rôle féminin, au sex-symbol que représentait, à la fin des années 50, la sculpturale Jayne Mansfield (1), le producteur pose explicitement les enjeux de l’intrigue : qui conquerra, de gré ou de force, la couche de la belle, pour plus, car affinités. Est-ce Hercule, l’inconstant (2) ou Lycos le fourbe ? A moins que ce ne soit l’homme singe, aux allures de yéti hargneux ? (3) Mais qu’importe puisque le spectateur aguiché peut entre les combats qui opposent le robuste Hercule à des monstres affreux (4) se distraire en regardant les jambettes des Amazones ou de Déjanire à moins que ses goûts ne l’inclinent à admirer celles de la gent masculine dont il peut en prime soupeser du regard les pectoraux luisants et puissants? 1- Est-ce pour ses rôles dans La Blonde et moi (1956), La Blonde explosive (1957), La Blonde et le Shérif (1958) que l’affiche du film la représente en blonde ? Mais il est vrai que sa taille y est aussi de guêpe et que Mickey Hargitay est affublé d’une barbe… 2- En effet la mort de sa femme ne l’affecte que très peu et lorsqu’il apprend que Déjanire est déjà fiancé, il trouve très vite à se consoler… Tout comme il se consolera encore plus prestement de la mort d’Hippolyte, la reine des Amazones, étouffée par ses anciens amants devenus des arbres sans feuilles. 3- En fait, le suspense est tout cinématographique puisque chacun sait que pour de vrai c’est le culturiste Mickey Hargitay qui la partage. 4- Chaque monstre qu’il combat offre au réalisateur l’occasion d’égayer l’œil du spectateur. Le taureau permet à Jayne Mansfield de dévoiler ses jambes et d’envahir l’écran de ses seins, taille Vixen L’hydre à trois têtes, prêtée par un parc d’attractions, débouche sur l’arrivée des Amazones Quant au bigfoot, il offre l’occasion au cameraman de cadrer le décolleté de Jayne Mansfield. |
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