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Goldocrack à la conquête de l'Atlantide |
![]() Retour à Hercule |
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Goldocrack à la conquête de l'Atlantide |
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Après le naufrage de son navire, Héraclès est recueilli par Virna, une princesse du désert. Les Bédouins subissent les attaques de mystérieux hommes de métal et Virna est envolée par ces hommes en bleu. Immédiatement, Héraclès se lance à leur poursuite. La piste le conduit jusqu’à la « montagne des morts » et ainsi il pénètre dans la dangereuse Atlantide sur laquelle règne Ramir. A la tête d’une armée d'Amazones et des Ombres (des Zombies), il projette d’épouser Virma et de soumettre le monde à sa volonté. Mais le vieux fou trouvera avoir maille à départir en la personne d’Héraclès qui refuse de partager Virma... |
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Quelques mots sur |
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« Si Dieu n'existait pas, il serait imparfait, or Dieu est parfait... donc il existe. » D’autre ont répondu, à ces aventuriers de la preuve : « On voit, par exemple, les théistes donner plusieurs "preuves" de l'existence de Dieu, qui ne sont en réalité que des arguments, car, si "preuve" il y avait, une seule suffirait… » Mais voilà qui nous éloigne des terres sableuses de l’Atlantide où se déroule cette extravagante aventure d’Héraclès, que d’aucuns ont surnommé, lorsqu’il émigra dans l’Hexagone, Goldocrack ! Arrivé en queue de la comète du péplum, ce film mélange allégrement des éléments chapardés, sans vergogne et sans talent, à d’autres métrages et introduit deux ou trois pistolaser prémonitoires, mais ridicules dans leur écrin de serpent séché. Pour autant ce « Il Conquistatore Di Atlantide » (1) mérite le détour tant il prouve irréfutablement l’existence du nanar horripilant et désopilant. Avec lui, il n’est nullement besoin de polémique quant à l’existence du « parfait » : il crève l’écran de son absence sous ces combinaisons bleues et de ces caches-bite noires ; il resplendit, d’une obscurité crade, sous une huppe pré-punk et une barbiche colorée post Fu Manchu; il se fait désirer à la vue de ses amazones pudiques et peureuses… Pour autant Alfonso Brescia ne signe pas ici son plus imparfait film, cet homme, toujours en quête d’un filon nouveau où s’inscrire et à épuiser, réalisera bien d’autres bis-métrages. Citons les plus marquants : « La Vie sexuelle de Don Juan » « Elena si… ma di Troia » « La Bataille des Etoiles » « Star Odyssey » « La Guerre des robots » « La Bestia nello spazio » (2) 1- Il ne faut pas le confondre avec « Ercole Alla Conquista Di Atlantide » (1961) de Vittorio Cottafavi 2- Il s’agit probablement de son chef-d'œuvre devant l’Eternel. L’actrice finlandaise Sirpa Lane qui a gagné sa notoriété avec « La Bête », de Walerian Borowczyk, occupe le rôle principal de cet space sex opera où l’équipage d’un vaisseau serait contraint à des relations sexuelles par une entité extra-terrestre. Notons qu’il existe une version hard de ce soft |
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