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Tom Blyth : Coriolanus Snow ||| Rachel Zegler : Lucy Gray Baird ||| Viola Davis : Dr Volumnia Gaul ||| Josh Andres Rivera : Sejanus Plinth ||| Hunter Schafer : Tigris Snow ||| Fionnula Flanagan : Grandma'am ||| Jason Schwartzman : Lucretius « Lucky » Flickerman ||| Peter Dinklage : Casca Highbottom ||| Ashley Liao : Clemensia Dovecote ||| Zoe Renee : Lysistrata Vickers ||| Mackenzie Lansing : Coral ||| Aamer Husain : Felix Ravinstill ||| Nick Benson : Jessup ||| Laurel Marsden : Mayfair Lipp ||| Lilly Cooper : Arachne Crane ||| Burn Gorman : le commandant Hoff ||| Dakota Shapiro (VF : Jérémie Bédrune) : Billy Taupe ||| Max Raphael : Festus Creed ||| Donald Sutherland : Coriolanus Snow âgé (caméo vocal, non crédité) |
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Hunger Games : La Ballade du serpent et de l'oiseau chanteur |
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Hunger Games : La Ballade du serpent et de l'oiseau chanteur |
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Coriolanus Snow est le fils unique d’une famille au passé prestigieux tombée en disgrâce et en pauvreté. Le jour de la Moisson des 10e Hunger Games, il est désigné pour encadrer Lucy Gray Baird la représentante du district 12, le plus misérable des districts. Tombe-t-il sous le charme de la belle ou manœuvre-t-il afin d’accéder à la gloire, la puissance et la richesse ? Le regardeur le saura en suivant les aventures contées dans ce long métrage. |
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Quelques mots sur |
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Ce cinquième volet de la franchise se situe dans la chronologie narrative avant le premier opus. Il s’agit donc de ce que les savants désignent sous le nom de préquel et il narre la jeunesse de Coriolanus Snow, c'est-à-dire du futur dictateur de la république de Panem. Divisé en trois parties, annoncées par des intertitres, ce trop long métrage suit les pérégrinations d’un jeune homme balloté entre le bien et le mal ou plutôt entre l’ego et une amourette cousue de fil d’un blanc virginal. Au final, le regardeur ne sera probablement impressionné que par les décors gigantesques, sorte de patchwork entre la Rome antique, les années 30 du siècle précédent et l’âge du numérique avec sa la vidéosurveillance et sa reconnaissance faciale. Et il ne retiendra probablement que la cruauté, tendance gore de la deuxième partie, tant la première lui aura semblé superfétatoire et la dernière, louchant vers le bucolique, vide de sens si ce n’est celui de préparer une suite, suite dont on se demande quoi elle pourrait être faite. D’une sixième critique très superficielle de la société du spectacle ? Ou d’une nouvelle métaphore dystopique de la lutte des classes où la classe laborieuse s’entretue sous l’œil goguenard de la bourgeoisie ? |
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