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Jules Berry : Barnett, alias Arsène Lupin || Gabriel Signoret : l'inspecteur Béchoux || Suzy Prim : Olga Vauban || Rosine Deréan : Germaine Laurent || Mady Berry : Victoire || Suzanne Dehelly : l'amie d'Olga || Aimé Simon-Girard : le journaliste || Raymond Aimos : l'ami de Barnett || René Hiéronimus : le gardien de nuit || René Navarre : l'inspecteur || Balder : Bobby || Georges Bever : le faux clergyman || Robert Ozanne : le maître d'hôtel || Thomy Bourdelle : Cassire || Abel Jacquin : Brémond || Serjius : Joseph || Luce Fabiole || Arlette Stavisky || Christiane Ribes || Yvonne Rozille || Denise Kerny || Marcelle Monthil || Gaston Mauger || Albert Broquin |
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Arsène Lupin détective |
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Arsène Lupin détective |
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Ce film est inspiré très librement de l’un des épisodes « L’agence Barnett & Cie » où Lupin, sous le nom de Barnett, dirige une agence de détectives privés et profite des informations qu’il recueille pour organiser ses brigandages. Et c’est ainsi qu’il est conduit à enquêter sur le suicide du comptable du financier Cassire. L’enquête, sur ce qui se révèle être un meurtre, le contraint à collaborer avec la police. Mais lorsqu’il piège les meurtriers, il se voit démasqué par un journaliste qui le dénonce à la police. L'homme de presse a bénéficié d'un tuyau. Un des criminels a en effet reconnu, sous les traits de Barnett, le fameux gentleman-cambrioleur. Arrêté, Arsène parvient à s'échapper grâce à l'aide de la maitresse du meurtrier. |
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Quelques mots sur |
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Au sujet de Jules Berry, qui interprète Arsène Lupin, Olivier Barrot écrivait en mai-juin 1972, dans l’Anthologie du Cinéma, n° 68 : « Habillé à la mode anglaise et portant une moustache blonde, il agrémente ses apparitions de déguisements variés qui le rendent méconnaissable. » Puis, il poursuivait, au sujet du film : « Le film est tourné avec une légèreté étonnante, l’action progresse par plans brefs, souvent sans recours au dialogue, mais seulement à la musique, pour une fois dotée d’une fonction précise. Diamant-Berger imprime en outre à l’ensemble un rythme continuellement soutenu, par un montage nerveux, spectaculaire qui rappelle par moment Feuillade, auquel l’auteur rend hommage tout au long du récit : fermeture au moyen d’iris de toutes sortes, clins d’yeux des acteurs à la caméra et aux spectateurs, utilisation de comparses très vivement dessinés, dotés de tics ou de manies » |
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