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Claude BRASSEUR : Rouletabille || Catherine ROUVEL : Madame Matthieu || Lucien NAT : M.Stangerson || Sylvie BREAL : Sylvette || Raoul GUILLET : Darzac || Marika GREEN : Mathilde Stangerson || Géo WALLERY : Le père Jacques || François MAISTRE : Larsan || Serge MARQUAND : Le garde || Margo LION : La mère Agenoux || Jean CHAMPION : M.Bernier || Renée DENSSY : Mme Bernier || Maurice BOURBON : Maleine || Jean OZENNE : De Marquet || Jean BERGER : M.Dax || Marius LAUREY : Le chauffeur de Larsan || Clément BAIRAM : Le président || René BERIARD : Le directeur || Paul DUNCAN : Mathieu |
1957 lectures |
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Le Mystère de la Chambre Jaune -1965 |
Retour à Joseph Rouletabille |
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Le Mystère de la Chambre Jaune -1965 |
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Film TV en deux parties. | ||||||||
Quelques mots sur |
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• Voici comment un célèbre magazine de TV annonçait la diffusion de film TV en deux parties L'EPOQUE ET PE LIEU Les années 1900, dans un château au bord de la Loire. LE THEME Comment le journaliste Rouletabille essaie de démêler les fils d’une intrigue très compliquée, malgré les obstacles que dresse devant lui le policier Larsan. SI VOUS AVEZ MANQUE LE DEBUT Ce soir-là, Mathilde Stangerson avertit son père qu'elle dormira encore cette nuit dans la chambre jaune du pavillon attenant au château. Alors que M. Stangerson, un savant, se livre d’étranges travaux dans un laboratoire contigu, il entend soudain d'atroces hurlements et des coups de revolver. Il se précipite vers la chambre jaune, dont la porte est fermée. Avec l'aide du Père Jacques, II enfonce la porte et trouve sa fille Mathilde, inanimée, des marques de strangulation au cou, un filet de sang à la tempe. Mais pas la moindre trace de l'agresseur. Comment celui-ci a-t-il pu s'introduire et sortir de la chambre jaune, hermétiquement close, verrouillée de l'intérieur et dont la fenêtre est protégée par de puissants barreaux. Outre le Père Jacques qui se trouve avec M. Stangerson, les époux Bernier sont les premiers arrivés sur les lieux du crime... Première diffusion : 27 novembre et 4 décembre 1965 • Et voici quelques-unes des réactions qu’il suscita (rapportées sur le site http://filmorouvel.chez.com/65ChambreJaune.htm) Si dans «France Nouvelle», Marie LAJAS est enthousiasmée par la réalisation de KERCHBRON, André BRINCOURT, dans «Le Figaro» estime être victime «d'une technique de l'éparpillement» dans laquelle l'excès de découpage nuit à l'ensemble de la réalisation. Marie LEJAS se demande si Claude BRASSEUR est «très à son aise dans un personnage dont il ne sent pas tout à fait le caractère. Il joue ce rôle plus qu'il ne le vit». Gilbert SALACHAS parle de semi-réussite et de semi-ratage alors que Léon TREICH, dans «L'Aurore» s'estime «victime d'un réalisateur qui a voulu faire du nouveau à tout prix», dénonçant une réalisation confuse, enchevêtrée, un drame dont tout le début «devint un irritant numéro de variétés parfaitement inopportun». |
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