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Anya Taylor-Joy : Furiosa ||| Chris Hemsworth : Dementus ||| Tom Burke : Praetorian Jack ||| Lachy Hulme : Immortan Joe / : Rizzdale Pell ||| George Shevtsov : l'Homme-Histoire ||| John Howard : le Mange-Personne ||| Angus Sampson : Organic Mechanic ||| Nathan Jones : Rictus Erectus ||| Josh Helman : Scrotus ||| Charlee Fraser : Mary Jo Bassa, la mère de Furiosa ||| Elsa Pataky : Mr. Norton / la générale Vuvalini ||| Peter Stephens : le gardien de Pétroville ||| Lee Perry : le meunier à balles ||| Daniel Webber : un War Boy ||| Alyla Browne : Furiosa, enfant ||| Jacob Tomuri : Max Rockatansky dit « Mad Max » |
93 lectures |
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Furiosa : Une saga Mad Max |
Retour à Mad Max |
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Furiosa : Une saga Mad Max |
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Le dilem posé par Cornelius Castoriadis a été tranché : la civilisation a cédé la place à la barbarie. La jeune Furiosa, qui vivait paisiblement sur Terre Verte des Vuvalini, est kidnappée par une horde de motards en vadrouille et est livrée au seigneur de guerre Dementus. Sa mère, qui tente de la délivrer, est suppliciée par ce Dementus devant ses yeux. Dementus et sa meute parcourent les Terres Désolées et découvrent la Citadelle présidée par Immortan Joe. Les deux tyrans, après une courte guerre, trouvent un accord et se partagent le pouvoir : Dementus règne sur Pétroville ; Immortan règne sur la Citadelle. Pendant ce temps, Furiosa sous l'identité secrète d'un jeune garçon muet prépare sa vengeance avec l’aide du Prétorien Jack chauffeur d’un Porte-Guerre. |
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Quelques mots sur |
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Désert et bruit de moteur sont au rendez-vous de cet opus de la saga Mad Max, mais aussi violence, caricature de personnages plus inhumains les uns que les autres et mise en scène grandiloquente de la sauvagerie, le tout probablement sur fond vert. Du côté du scénario, les surprises se sont absentées. Tant et si bien que dès les premières minutes chacun sait de quoi sera fait le reste du métrage : de la vengeance de Furiosa, la petite fille gentille qui a tant souffert. Certes les professionnels de la critique se sont tous, ou quasiment tous, accordés pour encenser ce métrage, mais il n’en reste pas moins que tout du long, il se révèle trop souvent poussif et sans imagination. Des motos poursuivent un camion dit Porte-Guerre et des hommes au visage blanc, sorte de kamikazes, meurent en tentant de le stopper. Et une question demeure sans réponse : dans ce monde de misère et de barbarie qui produit le PIB ? |
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