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Will Smith : James Edwards III / agent J || Tommy Lee Jones : Kevin Brown / agent K || Josh Brolin : Kevin Brown / agent K en 1969 || Jemaine Clement : Boris l'animal || Emma Thompson : Olivia / agent O || Michael Stuhlbarg : Griffin || Michael Chernus : Jeffrey Price || Alice Eve : Olivia / agent O en 1969 || David Rasche : agent X || Nicole Scherzinger : Lily || Bill Hader : Andy Warhol / agent W || Will Arnett : agent AA || Tony Joe : Tommy Agee || Lanny Flaherty : Obadiah Price || Mike Colter : le colonel James Edwards II || Cayen Martin : James Edwards III en 1969 || Keone Young : M. Wu || Walter DeForest : les gardiens lunaires || Lady Gaga7 : la mère des aliens || Tim Burton7 : un alien || Justin Bieber7 : un alien || Ryan Richard : Le vendeur à Timy Supermarché |
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Men in Black 3 |
Retour à Men in Black |
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Men in Black 3 |
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Boris l'Animal s’évade de la prison de haute sécurité, bâtie sur la lune. L’objectif de ce boglodite : tuer l’agent K responsable de son arrestation et de l’amputation de son bras. Son plan : faire un bond dans le passé (en 1969) et tuer K avant que celui-ci ne l’appréhende. Au lendemain du retour sur Terre de Boris l'Animal, l’agent J apprend que l’agent K est mort voilà 40 ans à Cap Canaveral et que la terre est menacée par une invasion massive de boglodites ! J n’a pas d’autres choix que de plonger dans le passé pour rétablir l’ordre historique en sauvant son partenaire et par là même empêcher l’invasion. |
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Quelques mots sur |
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Dix ans après le deuxième opus des MIB, Barry Sonnenfeld prend de nouveau les commandes de la réalisation de ce troisième volet des aventures loufoques des Blues Brothers, version régulateur du transit extra-terrestre sur Terre. Les ingrédients de cet opus demeurent inchangés : • Comédie. • Science-fiction. • Complotiste. • buddy movie. Par contre, les studios semblent avoir fait appel pour la première fois à un scénariste, ce qui donne quelque peu de consistance à cette aventure qui ne se résume pas une simple traque d’un MacGuffin simpliste comme précédemment. On ne peut que regretter que cet enrichissement scénaristique, où les paradoxes du voyage dans le temps sont traité avec adresse, débouche sur la quasi-éviction de Tommy Lee Jones, ce qui n’est pas sans conséquence quant à la charge comique du duo K J. Ainsi la personnalité excentrique et extravertie de l’agent J n’est plus mise en contraste avec celle renfrognée et distante de l’agent K. Cette faiblesse, qui aurait pu mettre à mal l’édifice de ce MIB3, est heureusement grandement compensée par la reconstitution méticuleuse, mais folklorique, de l’année 69. Et c’est avec jubilation que l’on visite « La Factory » où l’on croise un Andy Warhol crédible dans ce contexte fantaisiste. |
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