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Anthony Sadler : lui-même ||| Alek Skarlatos : lui-même ||| Spencer Stone : lui-même ||| Mark Moogalian : lui-même ||| Isabelle Moogalian : elle-même ||| Chris Norman : lui-même ||| Judy Greer : Joyce Eskel ||| Jenna Fischer : Heidi Skarlatos ||| Tony Hale : Coach Murray, le professeur de sport ||| Thomas Lennon : Michael Akers, le principal de l'école ||| Sinqua Walls : Marine ||| P. J. Byrne : M. Henry ||| Jaleel White : Garrett Walden ||| Ray Corasani : Ayoub El Khazzani ||| Patrick Braoudé : François Hollande de dos ||| Bryce Gheisar : Alek Skarlatos, enfant ||| Paul-Mikél Williams : Anthony Sadler, enfant ||| William Jennings : Spencer Stone, enfant ||| Vernon Dobtcheff : le vieil homme ||| Alix Bénézech : une serveuse ||| François Hollande : lui-même ||| Lionel Levy : Un policier |
827 lectures |
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Le 15 h 17 pour Paris |
![]() Retour à Clint Eastwood |
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Le 15 h 17 pour Paris |
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Dans la soirée du 21 août 2015, le monde, sidéré, apprend qu'un attentat a été déjoué à bord du Thalys 9364 à destination de Paris. Une attaque évitée de justesse grâce à trois Américains qui voyageaient en Europe. Le film s'attache à leur parcours et revient sur la série d'événements improbables qui les ont amenés à se retrouver à bord de ce train. Tout au long de cette terrible épreuve, leur amitié est restée inébranlable. Une amitié d'une force inouïe qui leur a permis de sauver la vie des 500 passagers. AlloCine |
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Quelques mots sur |
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Pour les Cahiers du Cinéma « Le nouveau Eastwood est un naufrage », La Septième Obsession résume son opinion en un cinglant « Plus républicain borné que jamais ». Pour Télérama « Le 15h17 pour Paris est sans doute l’un des rares films impossible à sauver de ce cher Clint ». Autant dire que les professionnels de la critique ont peu gouté ce Clint Eastwood. Pourtant, il ne mérite pas tant de mépris. Ni naufrage, ni borné, ni impossible à sauver, tout juste glorifiant des héros ordinaires comme en construisent parfois les circonstances. Et c’est bien de cela qu’il s’agit, et c’est bien pour cela que le métrage est organisé autour d’un empilement de flashes-back où le regardeur suit (brièvement) l'enfance puis l'adolescence d’Anthony Sadler, Alek Skarlatos et Spencer Stone, ces trois amis que peu de choses prédestinaient à l’héroïsme. Et enfin leur virée en Europe qui après moult hésitations fera étape à Paris. D’aucuns ont jugé, dans un jeu de mots expéditif, que ce « 15h17 pour Paris » ne contenait peut-être 17 minutes excellentes. Mais quelles minutes ! Les plus longues pour la vie des passagers de ce Thalys et probablement des plus émouvantes qu’il soit donné à voir. Sans effets de manche, ni pathos, les protagonistes de ce fait réel interprètent leur propre rôle dans ce métrage qui ne mélange pas fiction et réel puisqu’il est une simple transcription du réel. |
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