Clint Eastwood - Pour une poignée de dollars - Fist Full of Dollars - sur le site RayonPolar


Pour une poignée de dollars



Pour Une Poignée De Dollars - Fist Full Of Dollars

1964
Sergio Leone

Marisol:Marianne Koch - Man With No Name:Clint Eastwood - Ramon Rojo:Gian Maria Volonte - John Baxter:Wolfgang Lukschy - Esteban Rojo:Sieghardt Rupp - Piripero:Joseph Egger - Benito Rojo:Antonio Prieto - Silvanito:Jose Calvo -
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Pour une poignée de dollars
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Pour une poignée de dollars
Synopsis

A San Miguel un conflit fait rage entre les familles Rojos et Baxter.
Un étranger tente de tirer profit de la situation et passe d'un camp l'autre...

Quelques mots sur
Pour une poignée de dollars





Akira Kurosawa, en 1961 avec « Garde du corps », avait proposé une relecture filmique du roman de Dashiell Hammett « La moisson rouge ». Pour son second film, Sergio Leone reprend ce même thème et le transpose dans son pays d’origine : Amérique, l’Amérique du western…
Après avoir espéré d’autres acteurs pour le rôle de l’homme sans nom, il se rabat sur le jeune Clint Esatwood, qu’il a vu dans un épisode de Rawhide.

« Quand j'ai été approché, un Américain disant représenter le producteur m'a même demandé: « Est-ce que vous pourriez fournir votre propre costume? » Un peu abasourdi, je suis allé m'équiper dans une boutique de Santa Monica Boulevard. J'y ai acheté des pantalons qui me paraissaient d'époque; je les ai vieillis en les lavant et relavant. Je récupérai des bottes et des ceinturons que j'avais portés sur Rawhide. »
Clint Eastwood Entretiens avec Michael Henry Wilson

A sa sortie, le film ne laisse personne indifférant tant il revisite les figures canoniques du genre, qu’elles soient esthétiques ou psychologiques.
Ici les personnages sont irrémédiablement crasseux, mal rasés et leur visage envahit l’écran sans aucune transition. Quant à leur psychologie ou leur motivation morale, elle est réduite au néant. Le seul moteur qui les anime semble s’appeler dollar.
Tout droit sorti du jeu d’ombres du générique, l’homme sans nom pénètre dans la ville que balaie un vent poussiéreux et demeure impassible alors qu’un enfant se fait rouer de coups, peu lui importe le sort de ses semblables, il n’est là que pour se désaltérer, que guidé par son intérêt. Et c’est en quasi spectateur qu’il assiste aux affrontements entre les deux familles durant plus de la moitié du film, jusqu’à ce que violement rossé il n’intervienne directement dans la scène finale du duel de rue, avant de disparaître comme englouti par le générique de fin.
D’où vient-il? Qui est-il? Et pourquoi, après avoir changé mille fois de camp, décide-t-il de sauver Marisol, son mari et leur fils? Nous ne le saurons jamais, car à la différence du héros classique de western, il n’agit pas au nom du bien, ni même dans l’espoir de s’intégrer à un clan. Et il disparaît comme il est apparu, avec toujours le même visage inexpressif.

« Je jouais mon personnage tel que je le voyais, très intériorisé, avec un minimum de gestes. Je cabotinais à rebours; je cabotinais en ne manifestant aucune émotion! »
Clint Eastwood Entretiens avec Michael Henry Wilson

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