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Bruce Willis : John McClane | Justin Long : Matt Farrell | Timothy Olyphant : Thomas Gabriel | Cliff Curtis : Bowman | Maggie Q : Mai Lihn | Mary Elizabeth Winstead : Lucy McClane | Jonathan Sadowski : Trey | Kevin Smith : The Warlock (le Sorcier) | Cyril Raffaelli : Rand | Yancey Arias : Agent Johnson | Allen Maldonado : Barbiche | Yorgo Constantine : Russo | Chris O'Brocki : Civil furieux | Chris Palermo : Del | Tim Russ : Agent Chuck Summer | Jack Van Landingham : Membre du S.W.A.T. | Andrew Friedman : Casper | Sung Kang : Raj | Zeljko Ivanek : Molina | Christina Chang : Taylor | Jake McDorman : Jim | Rosemary Knower : Mme Kaludis | Gerald Downey : Agent Hoover | Jim Cantafio : Propriétaire du restaurant | Chris Ellis : Scalvino | Regina McKee Redwing : Agent tout proche | Tony Colitti : Agent chef Hazmat | Tim deZarn : Sergent de police | Kurt David Anderson : Miller | Matt O'Leary : Clay | Nadine Ellis : Teller | Ethan Flower : Le trader | Nick Jaine : L'homme au téléphone | Joe Gerety : Jack Parry | David Walrod : Client du restaurant | Edoardo Costa : Emerson | John Reha : Gamin fainéant | Rick Cramer : Rodriguez | Vito Pietanza : Inspecteur | Dennis Depew : Inspecteur | Howard Tyrone Ferguson : Inspecteur | Diana Gettinger : Dispatcher FBI | Melissa Knowles : Journaliste sur l'autoroute |
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Die Hard 4 : Retour en enfer |
Retour à John McClane |
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Die Hard 4 : Retour en enfer |
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L'inspecteur John McClane a été définitivement largué par sa femme et vit à Brooklyn avec pour seule compagnie l’alcool et la déprime. Méprisé par sa hiérarchie, qui juge ses méthodes archaïques, il se voit confier pour mission d’appréhender un hacker alors qu’il consacre son temps à surveiller sa fille Lucy. Mais au domicile du hacker, Matt Farrell, un commando suréquipé fait irruption. Au terme d’un échange nourri de coups de feu, John McClane parvint à exfiltrer le jeune Matt Farrell. Il ne reste plus à John McClane qu’à comprendre ce que signifie la présence de ce groupe de tueurs… et il y parviendra bien avant les autorités compétentes qui ne feront que constater l’ampleur de l’attaque informatique. Entre John McClane et Gabriel, disciple d’un Lenine geeks c’est une lutte à mort qui s’engage, une lutte au cours de laquelle John McClane éliminera tous les cybers terroristes et sauvera la vie de fille Lucy que ces vulgaires gangsters ont kidnappée… |
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Quelques mots sur |
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Exit les formes géométriques simples : la verticalité du premier opus ; l’ovoïde du deuxième volet ; l’horizontale d’« Une Journée En Enfer ». Bienvenue au chaos de l’hélicoïde sur lequel tangue dangereusement le camion dont a pris le contrôle John McClane et que mitraille aux missiles un avion militaire (Image 7). A l’heure des bits et des octets, la géométrie de la règle et du compas n’est pas plus de mise que les petites escroqueries d’un frère Gruber ou les opérations d’un commando privé. Dans « Piège De Cristal » Hans Gruber investissait un building, l’isolait des autorités afin de dérober quelques centaines de millions de dollars ; Le colonel Stuart procédait à l’identique avec un aéroport dans le but de libérer le général Ramon Esperanza, grand ponte du trafic de drogue et anticommuniste dans sa jeunesse ; Avec « Une Journée En Enfer », c’était une ville que Simon Peter Gruber aveuglait afin de subtiliser quelques milliers de millions de dollars… Un immeuble, un aéroport, une ville… que reste-t-il ? La Nation ! Dans la mesure où elle serait le stade suprême de la maison… Et c’est aux États-Unis que s’attaque Thomas Gabriel au travers d’une liquidation informatique, rideau de fumée qui masque le hold-up de tous les avoirs du pays. Alors lorsque les méchants s’attaquent aux biens communs de tous, que fait John McClane ? Il le sauve par hasard, comme il sauvait par hasard les otages du Nakatomi Plazza. Car pour John McClane, le monde a beau être devenu un carrefour d’informations qui circulent à la vitesse de la lumière, rien n’a vraiment changé : il est resté calé aux temps où il vivait avec Holly Gennero et le hasard guide toujours ses pas de fantôme qui hante la nuit et qui fait son « job ». John McClane part-il en guerre contre Thomas Gabriel ? Pas vraiment… il essaie juste d’éviter des balles qui ne lui sont pas destinées. Et s’il transforme une voiture en missile afin d’abattre un hélicoptère (Image 3) ce n’est que parce qu’à bord de celui-ci un commando tente d’éliminer le hacker Matt Farrell (Image 4) qu’il doit escorter jusqu’au siège du FBI. John McClane tue-t-il sciemment celle qui s’annonçait comme le sex-symbole de cet opus avant qu’elle n’ait pu le devenir ? Pas vraiment… il ne la tue que parce qu’il ne parvient pas à l’assommer, et laisse à la verticalité le soin de l’achever (Image 5). En fait, John McClane ne s’intéresse vraiment qu’à sa maison, fût-elle un lointain souvenir. Et si Thomas Gabriel n’avait pas kidnappé sa fille (Image 2) probablement aurait-il renoncé à le tuer (Image 8). |
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