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| Stéphane Audran : Hélène David || Jean Yanne : Paul Thomas, dit « Popaul » || Roger Rudel : inspecteur Grumbach || William Guérault : Charles || Mario Beccaria : Léon Hamel || Antonio Passalia : Angelo || Pascal Ferone : Père Charpy || Les habitants de Trémolat-en-Périgord. || Dominique Zardi : doublure chant d'Antonio Passalia |
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Le Boucher |
 Retour à Claude Chabrol |
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Le Boucher |
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| Dans un village du Périgord, la vie quotidienne des habitants cesse brusquement d'être tranquille. Des femmes sont égorgées. Par qui ? Le boucher, qui a fait les guerres d'Indochine et d'Algerie, devient le suspect numero un aux yeux de la directrice d'école, qui ressentait pour lui de tendres sentiments. | ||||||||
Quelques mots sur |
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| Il s’agit d’un long mouvement, avec des acteurs en liberté à l’intérieur du cadre. Ils font ce qu’ils veulent, il déambule littéralement. (Image 1 et 2) C’est un grand travelling que j’avais fait en deux-chevaux. A l’intérieur de ce travelling qui est quasiment en ligne droite, il y a deux mouvements : un panneau dans un sens un panneau dans l’autre sens … et un troisième qui se termine par ce plan, extrêmement compliqué, où les deux personnages, qui étaient ensemble, se retrouvent séparés. (Image3, 4 et 5), On arrive, avec le personnage de Stéphane l’institutrice (Image 6), à l’introduction du monument aux morts (Image 7 et 8). Il représente un symbole vaguement phallique, qui correspond à l’institutrice, mais surtout il induit la notion de mort qui va être très importante par la suite Ce plan, en lui-même, résume la totalité du film. D’après les propos de Claude Chabrol dans « Claude Chabrol l’entomologiste » entretiens avec jean Douchet – Cinéma de notre temps Janine Bazin et André S.Labarthe |
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