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| Karl Schanzer, Don Kenney, Marli Renfro, Virginia Gordon |
113 lectures |
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L'ouest sauvage et nu |
 Retour à Francis Ford Coppola |
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L'ouest sauvage et nu |
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| Deux jeunes puritains se retrouvent dans une boîte de strip-tease, ils se racontent leurs obsessions en attendant la venue des manifestants | ||||||||
Quelques mots sur |
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| Au sortir de la UCLA à Los Angeles, le jeune Francis Ford Coppola, qui ne rêve que de percer dans le monde du cinéma, réalise un court métrage « nudie » destiné aux circuits parallèles. Un voyeur épie son voisin photographe dans le studio duquel se succèdent les jeunes filles. Au moment de la commercialisation de ce sexy burlesque, le distributeur lui demande d’adjoindre ses images à celles d’un western visiblement « topless ». Avec le concours de son père qui compose la musique, et quelques scènes additionnelles, Coppola signe « Tonight For Sure », concaténation de son court métrage « Peeper » et de « The Wide Open Spaces ». août 1961 quelque part sur le Sunset boulevard de Las Vegas Deux individus à la mine patibulaire se retrouvent dans un cabaret désert. L’un est arrivé à dos de mule alors que l’autre l’attendait déjà. Nos deux compères prennent place à une table puis, après avoir saboté le système électrique de la boîte, se racontent leurs malheurs. Le cow-boy ne voyait plus que des femmes nues gambader dans les prairies, quant à son complice il souffre du même dérangement visuel mais en milieu urbain. Au terme de leur narration, le cabaret s’est peuplé et est subitement envahi par des ligues de vertu. Le résultat est un film hybride et sans réel intérêt, si ce n’est l’étrangeté qui s’en dégage. Chaque récit est l’occasion de montrer des scènes de nu quasi intégral (1), ce qui en 1961 devait être l’équivalent de la double pénétration dans les années 2000. Cette expérience de « nudie », Francis Ford Coppola la renouvellera un an plus tard avec « The Playgirls and the Bellboy » long métrage lui aussi bâti sur le même principe : ajouter des images à un autre film, ici un film allemand de 1958 « Mit Evan Fing Die Sunde » 1- Images confornes à l’esthétique de la célèbre revue "Paris-Hollywood" |
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