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| Keanu Reeves : Jonathan « John » Wick ||| Riccardo Scamarcio : Santino D'Antonio ||| Ian McShane : Winston ||| Ruby Rose : Ares ||| Common : Cassian ||| Claudia Gerini : Gianna D'Antonio ||| Lance Reddick : Charon ||| Laurence Fishburne : The Bowery King ||| Tobias Segal : Earl ||| John Leguizamo : Aurelio ||| Bridget Moynahan : Helen Wick ||| Thomas Sadoski : Jimmy ||| Erik Frandsen (en) : Numismate ||| David Patrick Kelly : Charlie ||| Franco Nero : Julius ||| Peter Serafinowicz : Sommelier ||| Peter Stormare : Abram Tarasov ||| Perry Yung : Docteur ||| Youma Diakité : Lucia ||| Chukwudi Iwuji : Akoni ||| Joan Smalls : Femme assassin ||| Mario Donatone : Cardinal ||| Heidi Moneymaker : L'assassin au violon (non créditée) |
535 lectures |
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John Wick : Chapitre 2 |
 Retour à John Wick |
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John Wick : Chapitre 2 |
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| Sa voiture récupérée et son chiot vengé, John Wick espérait jouir de sa retraite de tueur à gages, mais Santino revient réclamer la dette qu’il a contractée. John Wick n’a pas d’autre choix que de s’exécuter et de tuer la sœur de Santino qui siège à la « Grande Table » ce qui permettra à Santino de s’assoir à cette « Grande Table ». Mais le fourbe Santino lance un contrat sur sa tête de John Wick car il ne peut que venger l’assassinat de sa sœur ! |
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Quelques mots sur |
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| Ce deuxième volet des mésaventures de John Wick poursuit, tout en l’approfondissant le sillon tracé par le premier métrage : l’indestructible John Wick les tue tous et Dieu sait qu’ils sont nombreux, voire indénombrables. Et ce niveau de violence poussé au paroxysme fait basculer le métrage, qui ne demandait que ça, dans l’univers du cartoon, tant et si bien qu’ici comme « ailleur »,lorsque le héros est blessé, fut-ce gravement, il se relève quasi instantanément. Et cette impression de dessin animé se trouve accentuée par l’étrange univers dans lequel évoluent tous ces tueurs sanguinaires, avec ses règles, son administration et son esthétique. De sorte que par moment le regardeur pense au monde de Matrix et ses interminables affrontements, à d’autre à celui des drames antiques, faits de trahisons et de fratricides, et parfois au labyrinthe de miroirs de « La dame de Shanghai » |
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