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| Johnny Depp : Jack Sparrow ||| Orlando Bloom : William Turner ||| Keira Knightley : Elizabeth Swann ||| Stellan Skarsgård : Bill Turner ||| Bill Nighy : Davy Jones ||| Jack Davenport : James Norrington ||| Kevin McNally : Joshamee Gibbs ||| Jonathan Pryce : Weatherby Swann ||| Tom Hollander : Cutler Beckett ||| Lee Arenberg : Pintel ||| Mackenzie Crook (: Ragetti ||| Naomie Harris : Tia Dalma ||| David Bailie : Cotton ||| Martin Klebba : Marty ||| David Schofield : Mercer ||| Vanessa Branch : Giselle ||| Geoffrey Rush : Hector Barbossa ||| Alex Norton : Sam Bellamy ||| Christopher S. Capp : le perroquet de Cotton ||| Lauren Maher : Scarlett ||| Dermot Keaney : Maccus ||| Reggie Lee : Hadras |
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Le Secret du coffre maudit |
 Retour à Pirates des Caraibes |
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Le Secret du coffre maudit |
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| Treize ans auparavant, Jack Sparrow vendait, en échange du Black Pearl, son âme à Davy Jones, le maître des sept mers. Et voici que Davy Jones vient réclamer son dû… Mais Jack Sparrow n’a nullement l’intention de remplir sa part du marché aussi, afin d’éviter le funeste sort qui l’attend, il se met en quête du coffre où Jones a caché son cœur. Malheureusement, Jack Sparrow n’est pas seul à rechercher ce cœur qui confère le pouvoir absolu sur les sept mers à celui qui le possede. |
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Quelques mots sur |
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| Le succès appelle la récidive, en tout point identique. Et c’est un Johnny Depp toujours aussi survitaminé, bondissant et, tel un Tarzan sans cri, voletant accroché à une corde, en équilibre instable entre ciel et mer que le regardeur est convié à retrouver dans ce deuxième volet du pirate le plus célébré des écrans blancs. Mais comme un Jack Sparow fut-il légèrement gay n’y suffirait pas, une véritable ménagerie de monstres marins l’accompagne -des zombis amphibiens, conservés tel les proies d’«Alien » ; une pieuvre géante, échappée de « Vingt Mille Lieues sous les mers ». Et le tout explose à l’écran dans des combats aussi improbables que gigantesques. Trahisons, opportunisme et amour charpentent le métrage avec en toile de fond une ambiguïté des plus amusantes que permet un cliffhanger à l’image du métrage : énorme ! |
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