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Jamel Debbouze : André Moussah ||| Rie Rasmussen : Angel-A ||| Gilbert Melki : Franck ||| Serge Riaboukine : Pedro ||| Akim Chir : le chef des malfrats ||| Eric Balliet : le garde du corps de Franck ||| Loïc Pora : le second malfrat ||| Vénus Boone : la mère d'Angela ||| Jérôme Guesdon : le troisième malfrat ||| Michel Bellot : le planton US ||| Michel Chesneau : le flic au commissariat ||| Olivier Claverie : le secrétaire US ||| Solange Milhaud : la femme de Saint-Lazare ||| Laurent Jumeaucourt : le dragueur ||| Franck-Olivier Bonnet : le dernier client |
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Angel-A |
Retour à Luc Besson |
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Angel-A |
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Il s’appelle André Moussah, petit escroc couvert de dettes et au bout du rouleau… La fuite lui est impossible alors il n’a d’autres choix que le suicide. Mais alors qu’il est prêt à se jeter du haut du pont Alexandre-III, une jeune femme le devance… alors il se précipite et la sauve de la noyade. Elle s’appelle Angela et en remerciement lui dit qu’elle lui appartient… |
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Quelques mots sur |
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Ce dixième métrage signé Luc besson a reçu un accueil réservé de la part de la critique, voire extrêmement hostile (1). Mais quel métrage de ce réalisateur n’a pas eu droit à un lynchage ? Pourtant ce « Angel-A » ne méritait pas la volée de bois vert qui lui a été assené. Tout au contraire, ce sobre conte de Noël, au noir et blanc sublime, mérite mille éloges tant il est léger et amusant, tant il est beau et poétique, tant il offre au regardeur une raison de se réjouir, une raison de voir la vie en couleur. Magnifiquement naïf, quinze ans après sa sortie « Angel-A » n’a rien perdu de sa fraicheur et c’est un véritable plaisir de le voir ou le revoir. 1- Angel-A est donc tout simplement un film con. Il a la connerie prétentieuse, comme si faire du cinéma, c'était accumuler de belles images. (Libération) Angel-A s'enfonce dans la fatuité au fil de dialogues de plus en plus niais, au fur et à mesure qu'ils annoncent l'acmé amoureuse. (Positif) |
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