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Isabelle Adjani : Héléna Kerman ||| Christophe Lambert : Fred ||| Richard Bohringer : le fleuriste ||| Michel Galabru : le commissaire Gesberg ||| Jean-Hugues Anglade : le Roller ||| Jean-Pierre Bacri : l'inspecteur Batman ||| Jean Bouise : le chef de station ||| Jean Reno : le batteur ||| Alain Guillard : le saxophoniste ||| Constantin Alexandrov : Raymond Kerman, le mari d'Héléna ||| Jean-Claude Lecas : l'inspecteur Robin ||| Michel D'Oz : le guitariste ||| Éric Serra : Erico, le bassiste ||| Arthur Simms : Paul, le chanteur ||| Guy Laporte : le barman ||| Jimmy Blanche : le percussionniste ||| Christian Gomba : « Gros Bill » ||| Pierre-Ange Le Pogam : Jean ||| Benoît Régent : le vendeur de musique ||| Isabelle Sadoyan : la femme du préfet ||| Bernard Pollak : le préfet ||| Brigitte Chamarande : la fille du préfet ||| Jacky Jackubowicz, Arnold Walter et Martine Rapin : les invités du préfet ||| Catherine Luton : la femme au sac dérobé ||| Francis Lemonnier : le chef d'orchestre ||| Marie Vincent : l'habilleuse ||| Dominique Hennequin : l'ingénieur du son ||| Jean-Luc Miesch : un agent de la RATP ||| François Ruggieri : l'homme distingué ||| Luc Besson : un conducteur de train du RER B |
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Subway |
Retour à Luc Besson |
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Subway |
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Fred a forcé le coffre de son hôtesse Héléna et a dérobé des documents compromettants. Poursuivi par les porte-flingues du mari d’Héléna, il se réfugie dans le métro parisien… | ||||||||
Quelques mots sur |
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Avec ce deuxième film, Luc Besson change sa caméra d’épaule et passe d’un minimalisme d’acteurs et de décors à un minimalisme de scénario et une sophistication de décors. Et le regardeur plonge dans le labyrinthe du métro parisien pour y suivre quelques néo-punks et autres crypto-marginaux sur fond proto-musical. Est-ce cela qui a impressionné les jurys des festivals ou le fait qu’il réunisse à l’écran pour ce huis clos souterrain trois strates du cinéma français, les acteurs historiques, les acteurs installés, les acteurs en devenir ? Et si tout était contenu dans le titre ? Subway… métro en version FR… mais ça claque moins… Finalement avec ce deuxième film Luc Besson change sa caméra d’épaule et permute les termes de ses prétentions. A la démarche art&essai espérant rencontrer le grand public il substitue une démarche grand public espérant rencontrer L4art&essai. Plus de trois décennies plus tard, force est de constater qu’il ne subsiste plus rien de cette double volonté. Peut-être parce que le métrage porte les stigmates d’une esthétique éphémère et donc révolue ; peut-être parce que son métro est vide de vie ; que ses quais sont déserts et qu’au final ne demeure qu’une impression d’artificiel. |
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