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Germán Valdés : Tin / le vicomte de Texmelucan ||| Silvia Pinal : Lupita ||| Marcelo Chávez : Don Marcelo de Toluca, le gouverneur ||| Rafael Alcayde : capitaine don Gaspar de Cadereyta ||| Hortensia Constance : Doña Leonor de Tijuana ||| Juan García : Pitaya ||| Lupe Inclán : la sorcière Verónica ||| Rafael Banquells : un officiel ||| José René Ruiz : Enano ||| Joaquín García Vargas : Cocinero ||| Gregorio Acosta : un garde ||| Ramón Valdés : un garde |
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La Marca del Zorrillo |
Retour à Zorro |
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La Marca del Zorrillo |
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Après un long séjour en Italie où il a appris la danse et le chant au lieu de suivre les cours d'escrime Tin, le fils du vicomte de Texmelucan est de retour chez lui. Mais tout a changé et en premier lieu son amie d’enfance. Quant à l'ancien intendant du vicomte, Marcelo de Toluca, il est devenu gouverneur, un gouverneur qui fait saisir tous les biens du vicomte. Er malheureusement pour ce dernier, Tin n’est pas le valeureux combattant qu’il espérait, mais un lâche qui fuit au moindre conflit. Un jour, il refuse de combattre en duel le capitaine Gaspar et au cours de sa fuite, par inadvertance, sauve une sorcière attachée à un arbre. Pour le remercier, elle lui offre trois doses d’un onguent qui le rendra invincible une heure durant… |
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Quelques mots sur |
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Le scénario de ce métrage s’apparente par beaucoup d’aspects à celui des Zorro orthodoxes : un gouverneur fait régner un ordre injuste ; le fils d’un notable de la région revient au pays ; ce fils lâche en public devient un justicier masqué et intrépide la nuit. Sauf qu’ici, il n’y a pas de justicier masqué et que ce fils de notable se révèle être un lâche 24/24. Porté par le talentueux comique et chanteur Tin Tan dont chacun peut apprécier les grimaces et les bonds, ce film ne se contente pas de parodier les Zorro, il s’en amuse en introduisant dans l’intrigue quelques éléments chipés puis revisités à Cendrillon ou au loup-garou. En même temps qu’il devient vaillant et fine lame, le héros se transfigure en un affreux bonhomme et cette métamorphose ne dure qu’une heure… et il n’y aura droit que trois fois Certes ce film date de plus d’un demi-siècle, mais il n’a rien perdu de sa fraicheur, de sa bonne humeur et de son humour allègre et léger. |
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