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BAD BOYSUn film deMichael bayavecWill Smith |
1884 Lectures Depuis Le samedi 10 Decembre 2011 |
Un gangster aussi impitoyable que redoutable dérobe un important stock d’héroïne dans les dépôts de la police de Miami. Le capitaine Howard exige de ses hommes que l’affaire soit résolue avant que le FBI ne s’en mêle. Mike Lowrey et Marcus Burnett se mettent aussitôt à l’ouvrage… L’un des malfrats subtilise un paquet d’héroïne pour son usage personnel. Et alors qu’il est en compagnie de Max, une call-girl, Fouchet, le chef de la bande, fait irruption dans sa luxueuse villa. Il abat la fille et son ex-homme de main. Mais à l’étage, Julie, une photographe amie de la call-girl, est témoin de la scène. Au terme d’un mitraillage nourri, d’une course sur les toits et d’un saut dans une piscine, Julie parvint à s’enfuir. Terrorisée, elle contacte la police, mais n’accepte de parler qu’à Mike. Celui-ci était un ami de Max qui lui avait souvent parlé de lui. Malheureusement, Mike est absent et la fille risque de disparaitre dans la nature, alors le capitaine Howard ordonne à Marcus de se substituer à Mike. Et voilà notre trio en chasse de Fouchet… Fortement inspiré de « l’Arme Fatale » quant au duo de flics et de « 48 heures » quant à la gaudriole, aux voitures et autres obsessions masculines, « Bad boys » n’est pas seulement en enchainement débridé d’explosions, de poursuite, de mitraillage, et d’humour, parfois pioché dans une salle de garde, il n’est pas uniquement la mise en images d’un scénario indigent que les gambettes de Téa Leoni s’ingénient à occulter ou que des ralentis adroitement insérés s'efforcer de sophistiquer. « Bad Boys » est avant tout l’histoire d’une intrusion multiple : • Celle de Will Smith qui à partir de cet instant connaitra le succès international et dissociera son image de celle de Will, l’adolescent fan de rap et de basket-ball de série le « Prince de Bel-Air » pour devenir entre autres un « Men in Black » flashant. • Celle de Martin Lawrence, le banni à vie de « Saturday Night Live », qui pourra ainsi devenir à trois reprises « Big Mamma ». • Et celle de Michael Bay qui signe ici son premier long métrage et noue avec un succès public qui ne se démentira plus.
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